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8 - Marie en Tanzanie

8 - Marie en Tanzanie

Mots-clefs : blacks, fellation, adultère.


Je m’appelle Marie, j’ai 19 ans et je vis en région parisienne où je poursuis mes études afin de devenir infirmière. En avril 2019, nous sommes partis avec mes parents en Tanzanie pour un safari d’une dizaine de jours et finir à Zanzibar dans un club hôtel pour se détendre au bord des plages paradisiaques. J’avais donc 17 ans, j’étais en couple avec un garçon de mon âge avec qui tout se passait bien. Il savait que pendant une semaine je n’aurais surement pas beaucoup de batterie, ni de réseau mais il me faisait confiance et était super content pour moi. J’avais toujours rêvé de faire un safari et j’étais surexcitée à l’idée de voir les animaux sauvages.

Nous partons, mes parents et moi, de Paris et atterrissons à l’aéroport Kilimandjaro dans la soirée, après plus 10h de vol, où notre guide Jackson nous attend. Un noir qui doit avoir la quarantaine, plutôt grand et fin, qui a l’air super sympa. Je remarque rapidement que comme pas mal d’hommes de son âge, il apprécie mon corps (ce qui a le don d’agacer mon père et mon copain). C’est vrai que j’avais beau avoir 17 ans, j’étais déjà très bien formée. J’avais déjà un corps qu’on peut qualifier de « bimbo » même si je déteste cette expression : blonde, 1m64, une forte et belle poitrine taille 90 D ou E, avec une taille plutôt fine et de belles fesses, marquées notamment par ma cambrure naturelle.

Nous faisons le trajet jusqu’à l’hôtel pour cette nuit avant de partir demain matin dans les terres où nous dormirons beaucoup plus drastiquement. Je suis assise à côté de Jackson, sur le siège passager avec qui je fais plus ample connaissance pendant que mes parents discutent à l’arrière. Il ne peut s’empêcher de jeter 2 ou 3 coups d’œil au niveau de mes seins qui sont pourtant sous un débardeur peu décolleté. Je commence à me dire qu’il n’a encore rien vu et qu’il va se régaler toute la semaine avec mes tenues...

Nous arrivons à l’hôtel et Jackson, en gentleman, porte mes valises jusqu’à ma chambre. Il nous propose de boire un verre au bar mais mes parents sont crevés et décident d’aller dormir. Je fais mine d’y aller aussi mais je ne dis pas non pour découvrir les cocktails tanzaniens. On s’installe donc tous les deux au bar de l’hôtel où l’on discute de la Tanzanie et de ce que nous allons faire le lendemain. Mais après quelques verres qu’il m’a gentiment payés, il est devenu un peu trop séducteur en me posant des questions sur mon couple, en me complimentant et ne cessant de me dire que j’étais une très jolie femme. J’étais mal à l’aise, surtout par l’écart d’âge et en plus j’étais en couple. J’ai décidé de rentrer dans ma chambre en lui expliquant que j’étais fatiguée. Il ma raccompagnée devant ma chambre et ma fait la bise en me tenant par la taille avec ses 2 mains. Une fois dans ma chambre, j’ai appelé mon copain et lui ai fait grâce de lui raconter que j’ai passé la soirée au bar avec le guide qui n’arrêtait pas de me draguer.

Le lendemain, nous nous retrouvons tôt pour le petit déjeuner puisque nous avons beaucoup de route à faire. Il fait très chaud alors j’ai mis mon petit short en jean et une brassière laissant apercevoir une bonne partie de mon corps, ce qui ne déplaît pas au guide. Je passe une journée incroyable. Les paysages sont magnifiques, je vois des éléphants et des girafes, c’est juste incroyable. Jackson nous donne plein d’anecdotes et semble plutôt bien se tenir devant mes parents malgré le fait qu’il me mate dès que possible. En fin de journée, nous commençons à nous installer avant que la nuit tombe dans un terrain spécialement clôturé pour dormir, regroupant plusieurs groupes et leurs guides. Jackson profite que mes parents aient les dos tourné pour me proposer de venir boire un verre dans sa tente après le repas. Cette fois, il ne propose pas à mes parents mais j’accepte quand même pour ne pas m’ennuyer puisque je sais que mes parents vont aller se coucher rapidement.

Comme prévu, mes parents nous disent bonne nuit et nous restons un moment avec Jackson au coin du feu. Plusieurs de 2 de ses amis guides viennent se joindre à nous et je me retrouve avec 3 blacks d’une quarantaine et cinquantaine d’année à boire des Safari (bière locale plutôt forte). Je commence à être rapidement pompette et eux deviennent de plus en plus chauds et tactiles avec moi. Dire mon âge ne les a pas arrêtés, bien au contraire. Je commençais à avoir froid, il faisait 10° la nuit et plutôt que de prendre un pull dans ma tente, lorsqu’un de ses amis me propose de venir sur ses genoux pour me réchauffer j’y suis aller sans hésiter sous l’effet de l’alcool. A partir de là, je savais que ça allait forcément dé****r et que j’allais avoir du mal à rentrer tranquillement dans ma chambre. J’aimais vraiment mon copain et je ne me sentais pas forcément attirée par ses mecs mais en étant à moitié ivre, j’étais excitée par la situation. Mes parents qui ne dorment pas loin, moi avec 3 mecs que je ne connais pas, loin de tout et qui fantasment sur moi alors que je pourrais être leur fille. Tout cela était malsain mais ça me plaisait et eux encore plus.

J’étais donc sur les genoux d’Elijah qui avait les mains plutôt baladeuses. On a commencé un jeu d’action ou vérité pour lequel je choisissais toujours « vérité » par peur de leurs actions. Ils m’ont posé pas mal de questions sur mes expériences sexuelles et notamment si j’avais déjà couché avec un black. Je leur ai dit que non mais que pour moi il n’y avait pas de différences, que la taille des sexes ça ne voulait rien dire et que les noirs n’en ont pas tous des grosses. Ce à quoi Elijah a répondu : «Tu crois que tu es assise sur quoi là ?». Je me suis levée immédiatement et ai regardée en direction de son entrejambe. J’étais bien assise sur son sexe qui était immense sous son survêtement. J’étais vraiment surprise et lui ai fait remarquer qu’il n’avait pas honte de bander comme ça sur une fille de 17 ans. Sans gêne il me répond : « Vu ta réaction ton copain n’a pas la même et c’est la première fois que tu en en vois une aussi grosse. Ça fait 10 minutes que t’es assise sur ma queue, ne nous fait pas croire que tu es avec nous pour passer le temps. Reviens sur mes genoux ma belle.»

Je suis revenue sur ses genoux sans dire un mot et il ma chuchoté à l’oreille : «Je te veux pour moi cette nuit dans ta tente, dis action à la prochaine». J’ai rigolé niaisement, à moitié bourrée, et j’ai dit action. Je sentais que Jackson était jaloux et la question posée était de choisir avec qui j’allais dormir cette nuit en l’embrassant. Je me suis quand même retournée pour voir s’il y avait mes parents autour et j’ai embrassé langoureusement Elijah pendant qu’il posait ses mains partout sur mon corps. Je ne pensais plus du tout à mon copain, même pas à mes parents qui auraient pu me voir avec un mec de leur âge embrasser leur fille. Elijah m'a de nouveau chuchoté dans l’oreille : «tu as froid, on va aller se réchauffer dans ta tente ?». J’ai dit oui directement et j’ai dit bonne nuit à Oscar et Jackson qui m’a à son tour chuchoté que j’ai eu tort et que demain ça serait lui dans ma tente.

Elijah m’a prise par la taille et on est parti en direction de ma tente pendant qu’il m’expliquait que je ne le reverrai pas demain car il ne prenait pas la même direction que nous. Moi, ça m’était égal, je le voulais ce soir et le lendemain je savais que j’allais terriblement regretter. On arrive à l’entrée de la tente, il m’embrasse en me déshabillant sauvagement, je me retrouve en sous vêtement et je pose ma main sur son sexe. On est dehors mais je m’en fous :

- «Il est énorme, j’adore.»
- «Putain mais t’as 17 ans, c’est pas possible d’être aussi bonne, je vais te démonter toute la nuit petite chienne, mets-toi à genoux.»

J’obéis directement et j’enlève son jogging, sa queue me claque le visage et il commence à le caresser avec. Je lui lèche ses boules et remonte délicatement tout le long de sa tige. Je répète le mouvement plusieurs fois et sa bite devient entourée de bave. Il me caresse de nouveau le visage et me prend par les cheveux :

- «Suce-moi chienne blanche, t’aimes ma grosse queue hein ?»
- «Oui, j’adore !»

Je sucais sa queue de 23 cm comme j’ai pu pendant une dizaine de minutes où il n’arrêtait pas de me dire : «chienne blanche», « que dirait ton père en te voyant me sucer la queue ?», « et ton mec le cocu ?» etc. Moi j’étais trop concentrée à le sucer, j’aspirais son gland de toutes mes forces, je lui léchais les boules en lui disant que j’étais à lui ce soir, que c’était la plus belle queue que j’avais vue. Je commence à sentir qu’il ne va pas tarder à jouir, il se retient mais je continue à le sucer en lui caressant ses boules. Il sort son téléphone, allume la caméra avec le flash, me tire par les cheveux et pousse un râle puissant en giclant sur mon visage quatre gros jets. J’en avais partout, même dans les yeux.

- "Hmmm, toi t’es une vraie chienne à blacks. Tu va bouffer le sperme que t’as sur la tête, tu va me nettoyer et ensuite je vais te baiser à quatre pattes comme une chienne."

A peine sa phrase prononcée que j’ai pris sa grosse queue pour ratisser tout son sperme jusqu’à ma bouche. Je l’ai avalé jusqu’à la dernière goutte et me suis hâté de nettoyer son sexe bien chaud avec ma langue, en embrassant son gland. Je n’étais plus la même personne. Moi, la petite lycéenne de 17 ans en couple depuis presque un an, qui devenait entièrement soumise à un black de 50 ans que je connaissais depuis à peine 3 heures. Je sens qu’il recommence à bander pendant que je le nettoie. Sa bite devient de plus en plus grosse dans ma bouche jusqu’à qu’il me pousse violemment dans la tente. Il m’arrache mon soutien-gorge et embrasse mes seins sauvagement :

- «Putain mais cette paire de seins que t’as ! Tu va faire bander toute la Tanzanie bordel, même les lions vont vouloir te baiser !»

Il me met ensuite à quatre pattes pendant que je lui demande de me baiser comme une chienne. Il commence à rapprocher son gland de mes lèvres quand je sens qu’il n’a pas de préservatif :

- «Tu n’as pas de capote ?»
- «Pas pour toi ma belle, j’espère que tu ne prends pas la pilule car j’aimerais bien t’engrosser.»
- « Ok on s’en fout, baise-moi !»

J’étais dans un état second et ne réfléchissais plus aux conséquences. Heureusement, je prenais la pilule mais j’ai quand même pris des risques pour qu’il me baise sans capote. Il est rentré en moi directement et j’ai commencé à hurler dans mon sac de couchage. C’était incroyable, je sentais sa grosse bite en moi, faisant des allers-retours de manière extrêmement énergique pendant qu’il m’insultait et me tenait fermement par les hanches :

- «Oh putain, t’aimes ça chienne à blacks ! Ton père et ton mec seraient fiers de te voir à quatre pattes réclamer ma grosse bite noire ? »
- «Hmmh oui, je suis ta chienne, j’aime trop ça, continue.»
- «Tu pourrais être ma fille mais t’es tellement bonne, bordel ! Une blanche aux gros seins et au cul parfait. Tas le corps pour te prendre des grosses bites de noirs.»
- « Hmmh je ne sais pas si je pourrais m’en passer, tu me baises si bien !»

Et les assauts continuaient, je tremblais à chaque orgasme qu’il me donnait pendant 30 minutes. Je devenais épuisée jusqu’à qu’il décharge sa semence au fond de moi, en se collant à moi tout en me tenant par les seins. C’était si chaud et si bon. Je n’avais jamais connu une baise comme ça. Il m’a complétement envoutée et contrairement à ce que j’aurais pu penser, je n’avais pas honte et je suis directement venue le sucer pour le nettoyer dès qu’il est sorti de moi :

- «C’est bien ma belle. Tu as une bouche faite pour sucer des bites. Ton mec ne te mérite pas, toi il te faut des vraies queues d’hommes, des queues de renoi.»
- «Je m’en fous de mon mec, c’est toi que je veux. Je veux être ton esclave blanche.»
- «Je te mettrais bien en laisse si y avait pas tes parents mais nous deux c’est uniquement pour ce soir. T’es mon vide-couilles de 17 ans. Je vais te souiller toute la nuit, tu pourras même plus marcher demain.»

Et il a recommencé à me baiser. Cette fois-ci en missionnaire pendant qu’il m’embrassait le cou et ma bouche qui sentait son sperme. Il me défonçait, pendant que je luttais pour ne pas crier et réveiller mes parents situés dans la tente dix mètres plus loin :

- «Oh putain, j’arrive, je vais gicler sur tes gros seins.»

Il lui restait encore pas mal de sperme, c’était incroyable.

J’adorais prendre son sperme dans ma bouche, mon mec ne l’avais jamais fait car je ne voulais pas. Mais ici, en Tanzanie, avec Elijah, j’en avais envie et j’adorais ça. On a commencé à se mettre sous la couette pendant qu’il continuait à me peloter et moi qui touchait et caressait sa grosse queue. Je l’ai sucé et il m’a baisée toute la nuit jusqu’à 4h du matin lorsqu’il a dû partir préparer le départ de son groupe. En guise de cadeau avant de partir, il m’a rempli la bouche de son sperme bien chaud que j’ai avalé en le remerciant :

- «Je pense que maintenant t’es bien éduquée, je ne me fais pas de souci pour toi, tu vas vite retrouver une bite noire.»
- «Jamais meilleure que la tienne !»
- «Donne-moi tes coordonnées au cas où tu reviens me rendre visite. Je m’occuperai toi comme il faut ma belle.»

Je me suis endormie comme un bébé sans penser une seule seconde à mon copain, le visage encore collant de sperme.


Auteur : une certaine "Mariedms".
Published by rabanmaur
3 years ago
Comments
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royalgiftformen
royalgiftformen 3 years ago
J'adore!
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