Carnet de putes 2/ les putes paradoxales

Je me rends dans mon bordel habituel, chez Mme Rosina, sympathique brésilienne courtaude, aux gros seins. C'est devenu une habitude, elle me troue le cul de sa main gantée pendant que nous discutons. Comme une infirmière vicieuse, elle guette les réactions de ma prostate.
Lorsque nous parlons de ses nouvelles filles, il arrive qu'elle les appelle d'une voix forte pour me les présenter. Rosina continue de m'enculer lorsque telle ou telle fille entre dans la chambre. Rosina lui fait admirer ma grosse queue. Elle me vante les mérite de la fille, m'invitant à la sauter la prochaine fois.
Cette fois, elle me présente une jolie roumaine d'une vingtaine d'année, qui fait ma connaissance en me voyant la trique en l'air, en train de me faire câliner le fion par Rosina.
La prochaine visite sera pour cette roumaine. son physique attrayant me promet une grande excitation.
Cela commence bien. Je suis étendu sur le lit, pendant que la fille se prépare.
Elle entre, s'étend sur le lit, et me suce avec des mouvements de langue très excitants, en me regardant avec des yeux brillants.
Je me réjouis de la fourrer.
Je monte sur elle, en m'attendant à une sensation délicieuse.
Déception: je ne sens pas grand-chose, sans que je puisse m'expliquer pourquoi. Je finis par gicler dans ma capote, mais assez laborieusement, avec une sensation tiède. Quelque chose de banal, d'impersonnel rend cette copulation trop mécanique. Pourtant,la fille est si attrayante...je décide de retourner la voir.
Cette fois, elle n'est pas là. Une métisse brésilienne, bien en chair, me propose ses services.
Sans enthousiasme, presque par désoeuvrement, j'accepte. Cette femme n'est pas du tout mon genre.
Elle fait très "pute banale". Sympathique néanmoins. Elle me suce moyennement. Ce n'est bien sûr pas désagréable, mais pas transcendant non plus.
Elle se couche sur le dos, signifiant que l'heure de la saillie est venue.
Je me décide à la monter, en ne m'attendant pas à grand-chose. Elle m'a tout de même bien fait trique avec sa pipe.
Dès que mon gland entre en elle, je sens que ce sera bien. Je me vois comme dans un film, à poil sur cette femme qui ne correspond pas à mes goûts...sans chercher à la rabaisser, je me dis que je me vois tout simplement en train de baiser une grosse pute bien banale.
Erreur - on se fait des scénarios sur des photos, on catalogue...mais la réalité est parfois tout autre. J'adore la fourrer.
Le courant passe, je me félicite de l'absence de l'autre fille, je suis bien content de piner cette femme. Le vagin de la pute est expressif sur ma queue. J'aime bien ses gros nichons. Je sens la jouissance monter, sans devoir la chercher. Je jouis.
Une autre fois, dans un autre bordel, qui est aussi un sauna rempli de putes qui racolent le client, je fais des pieds et des mains pour me retrouver dans une cabine avec une petite russe qui fait très gamine, très ballerine. Je me réjouis tellement de la fourrer...
Une fois dans son vagin, l'excitation retombe comme un soufflé.
Dans le même sauna, je me laisse entraîner par une fille brune, probablement hongroise ou roumaine, qui me plaît moins.
Nous allons dans la partie "voyeur" de l'établissement, c'est-à-dire que nous baisons sur de grands matelas, au yeux des autres clients, des passants. Un garçon de vingt ans est à quelques mètres, assis sur des coussins avec une autre pute. Elle le branle.
Ma pute à moi dit quelque chose dans sa langue avec sa copine branleuse.
- Ce serait excitant s'ils venaient baiser à côté de nous...
La fille transmet ma suggestion à sa copine. Le couple se couche à côté de nous.
Le garçon et moi, nous nous couchons chacun sur notre pute, et nous labourons leurs vagins, nous travaillons de la queue. Les filles rigolent et parlent entre elle, comme des copines sur une plage, pendant que les deux vicieux sont en train des les limer.
Nous jouissons presque en même temps. J'ai adoré cette façon conviviale de baiser des putes.