Carnet de putes 1

Rue passante, vieilles maisons collées les unes aux autres. L'une d'elle est remplie de studios érotiques.
L'escalier est très étroit, il monte sur trois étages. On voit les photos des filles sur les portes.
Au rez-de-chaussée, trois studios.
Susanna, une vingtaine d'année. Hongroise aux cheveux noirs mi-longs. Très douce, très sympathique.
Plusieurs filles dans le même studio. Elle me conduit dans sa chambre. Je me déshabille assez fébrilement pendant qu'elle s'absente.
Je me réjouis de l'enfiler.
Susanna me suce avec un préservatif, assez lentement. Je lui fait signe que j'aimerais qu'elle me lèche les boules.
A ma grande surprise, cette jolie fille me les déguste avec zèle et douceur.
La langue de Susanna est chaude, douce, fouilleuse, variée.
Le moment arrive où la fille fait comprendre que la moment de la pénétration est arrivée.
En principe, je n'aime pas rester couché, la sensation n'est pas très forte avec la capote quand les filles me montent dessus.
Je n'aime pas non plus qu'elles me tournent le dos, pour se faire prendre à quatre pattes, du moins pour commencer. J'aime voir leur visage.
Exceptionnellemt, je laisse Susanna monter sur moi. Elle me chevauche, et...oh surprise...c'est absolument irrésistible.
Son vagin me suce, me branle, m'étrangle la bite....Elle ferme les yeux, elle se branle sur mon manche. J'ai l'impression qu'elle m'aspire la semence.
Je jouis irrésistiblement dans le vagin de la petite, enivré par sa petite chatte.
Même si ce n'est pas raisonnable financièrement, je sonne à nouveau chez elle quelques jours plus tard.
A nouveau, elle me lèche les boules.
Lorsque je monte sur elle pour la fourrer, je finis par jouir, mais la magie n'est plus là. Elle a moins envie, et je le ressens.
J'essaie de la retrouver, mais elle est sans doute rentrée dans son pays.
Merci Susanna, c'était très bon