Plage
Ma chérie, j’ai toujours eu envie de t’emmener bronzer sur une plage naturiste.
En fait, c’est une plage comme une autre, avec des jeunes, des vieux, des beaux, des moches, bref les mêmes personnes que sur une plage textile.
C’est ce que nous remarquons immédiatement, et cela te rassure. Nous nous avançons tranquillement en direction du rivage en foulant le sable tiède. Nous ne tardons pas à trouver de la place libre, ce n’est pas très difficile, les plages naturistes sont généralement moins peuplées que les plages textiles. D’ailleurs certains groupes n’ont pas tombé le maillot, ils sont peut-être venus ici juste pour profiter d’un peu plus d’espace libre.
Après avoir étendu nos serviettes et mis un peu de crème solaire, nous commençons par nous allonger pour bénéficier des rayons chauds du soleil. Étendus sur le dos, légèrement somnolents, nous observons avec curiosité les passants à travers nos lunettes de soleil. Parmi ceux-ci, certains nous observent, en particulier au niveau de nos sexes.
Au début, c’est un peu gênant, mais nous finissons par nous y habituer. Après tout, se faire observer peut être considéré comme un compliment, et quand celui qui observe est nu aussi, ce n’est pas du voyeurisme.
Ce que nous remarquons aussi à la longue, c’est qu’il y a plus de personnes au sexe rasé sur la plage.
Tu commences à ressentir du plaisir à être regardée par les passants, ce que tu me confies avec une légère appréhension.
— Tu n’es pas jaloux, j’espère ?
— Pas du tout. Au contraire, je suis fier d’avoir une femme si jolie qu’elle attire ainsi l’attention.
— Peut-être aussi à cause de mon sexe épilé.
— C’est possible, moi aussi je me fais mater. Aussi bien des hommes que des femmes.
— C’est réellement très agréable, comme sensation.
— Ça te fait mouiller ?
— Quand même pas. Et toi, tu bandes ?
— Heureusement que non. C’est quand même moins discret. Mais je vois que tes seins pointent, tu es quand même bien excitée.
— Je n’avais pas remarqué.
— En fait, je parie que si je te mettais un doigt, tu mouillerais immédiatement.
— Arrête de me parler comme cela, je sens que je deviens toute humide. Tu pourrais me mettre directement trois ou quatre doigts sans problème, mais ici il y a trop de monde.
A ce moment là je me retourne subitement sur le ventre.
— Et moi, je vais arrêter de t’écouter. Je viens d’avoir une érection incontrôlée !
Le temps s’écoule, le soleil brille, il fait chaud. Nous nous décidons à aller nous baigner pour nous rafraîchir un peu. L’eau est bonne, et même chaude, c’est un régal d’être dedans. C’est alors que nous découvrons enfin l’incroyable plaisir de nous baigner nus. L’eau s’écoule sur nos corps, parcourt nos parties les plus intimes, nous procurant des sensations inédites. Nous nous rapprochons, nous nous embrassons, nous échangeons quelques caresses dans l’eau.
Je ne tarde pas à être à nouveau en érection, mais cette fois-ci, c’est moins grave, personne ne peut s’en rendre compte. Tu en profites pour me caresser de façon plus approfondie. Ce qui devait arriver ne tarde pas à se produire, je me mets à éjaculer dans ta main.
— Désolé, ça a été si vite.
— Ce n’est pas grave. Tu devais être très excité, maintenant ça ira mieux.
— J’espère.
Tu m’embrasse alors amoureusement à pleine bouche tout en me caressant le torse et en étalant sur moi le sperme que tu as encore dans le creux de la main.
Après avoir encore profité des bienfaits de la mer pendant un bon quart d’heure, nous retournons épuisés sur la plage. Ces quelques pas sur la plage sont l’occasion d’observer à notre tour ceux qui sont allongés, nus sur leurs serviettes.
Il y a deux jeunes filles qui sont là, allongées sur leurs serviettes, leurs pubis consciencieusement épilés laissant bien visibles leurs lèvres toutes lisses. À côté d’elles, probablement leurs parents, d’ailleurs la femme leur ressemble. Elle aussi s’épile avec soin la toison pubienne de la même façon que les deux jeunettes. Par contre, l’homme à côté d’elle ne fait aucun effort de ce côté-ci, il a gardé tous ses poils, comme d’autres hommes qu’ils ont croisés sur la plage.
Nous arrivons alors à hauteur d’un couple où l’homme et la femme sont intégralement rasés tous les deux comme nous, ce qui est quand même peu fréquent. Nous ne pouvons nous empêcher de laisser échapper un petit murmure admiratif assorti d’un léger sourire, tandis que je te dis :
— Un sexe est quand même plus beau quand il est bien rasé.
— Tu parles duquel ?
— Des deux.
— Tu t’intéresses aussi au sexe des hommes ?
— Depuis que je suis arrivé sur cette plage, je n’ai jamais vu autant de bites à l’air. Franchement, je préfère en voir une comme cela, bien propre, bien lisse, plutôt que l’autre, toute envahie de poils.
Tandis que nous discutions, le couple qui était allongé n’a cessé de nous observer et même de nous rendre ce léger sourire qu’ils ont eu, mais cela, nous ne nous en rendons pas compte.
En fait, c’est une plage comme une autre, avec des jeunes, des vieux, des beaux, des moches, bref les mêmes personnes que sur une plage textile.
C’est ce que nous remarquons immédiatement, et cela te rassure. Nous nous avançons tranquillement en direction du rivage en foulant le sable tiède. Nous ne tardons pas à trouver de la place libre, ce n’est pas très difficile, les plages naturistes sont généralement moins peuplées que les plages textiles. D’ailleurs certains groupes n’ont pas tombé le maillot, ils sont peut-être venus ici juste pour profiter d’un peu plus d’espace libre.
Après avoir étendu nos serviettes et mis un peu de crème solaire, nous commençons par nous allonger pour bénéficier des rayons chauds du soleil. Étendus sur le dos, légèrement somnolents, nous observons avec curiosité les passants à travers nos lunettes de soleil. Parmi ceux-ci, certains nous observent, en particulier au niveau de nos sexes.
Au début, c’est un peu gênant, mais nous finissons par nous y habituer. Après tout, se faire observer peut être considéré comme un compliment, et quand celui qui observe est nu aussi, ce n’est pas du voyeurisme.
Ce que nous remarquons aussi à la longue, c’est qu’il y a plus de personnes au sexe rasé sur la plage.
Tu commences à ressentir du plaisir à être regardée par les passants, ce que tu me confies avec une légère appréhension.
— Tu n’es pas jaloux, j’espère ?
— Pas du tout. Au contraire, je suis fier d’avoir une femme si jolie qu’elle attire ainsi l’attention.
— Peut-être aussi à cause de mon sexe épilé.
— C’est possible, moi aussi je me fais mater. Aussi bien des hommes que des femmes.
— C’est réellement très agréable, comme sensation.
— Ça te fait mouiller ?
— Quand même pas. Et toi, tu bandes ?
— Heureusement que non. C’est quand même moins discret. Mais je vois que tes seins pointent, tu es quand même bien excitée.
— Je n’avais pas remarqué.
— En fait, je parie que si je te mettais un doigt, tu mouillerais immédiatement.
— Arrête de me parler comme cela, je sens que je deviens toute humide. Tu pourrais me mettre directement trois ou quatre doigts sans problème, mais ici il y a trop de monde.
A ce moment là je me retourne subitement sur le ventre.
— Et moi, je vais arrêter de t’écouter. Je viens d’avoir une érection incontrôlée !
Le temps s’écoule, le soleil brille, il fait chaud. Nous nous décidons à aller nous baigner pour nous rafraîchir un peu. L’eau est bonne, et même chaude, c’est un régal d’être dedans. C’est alors que nous découvrons enfin l’incroyable plaisir de nous baigner nus. L’eau s’écoule sur nos corps, parcourt nos parties les plus intimes, nous procurant des sensations inédites. Nous nous rapprochons, nous nous embrassons, nous échangeons quelques caresses dans l’eau.
Je ne tarde pas à être à nouveau en érection, mais cette fois-ci, c’est moins grave, personne ne peut s’en rendre compte. Tu en profites pour me caresser de façon plus approfondie. Ce qui devait arriver ne tarde pas à se produire, je me mets à éjaculer dans ta main.
— Désolé, ça a été si vite.
— Ce n’est pas grave. Tu devais être très excité, maintenant ça ira mieux.
— J’espère.
Tu m’embrasse alors amoureusement à pleine bouche tout en me caressant le torse et en étalant sur moi le sperme que tu as encore dans le creux de la main.
Après avoir encore profité des bienfaits de la mer pendant un bon quart d’heure, nous retournons épuisés sur la plage. Ces quelques pas sur la plage sont l’occasion d’observer à notre tour ceux qui sont allongés, nus sur leurs serviettes.
Il y a deux jeunes filles qui sont là, allongées sur leurs serviettes, leurs pubis consciencieusement épilés laissant bien visibles leurs lèvres toutes lisses. À côté d’elles, probablement leurs parents, d’ailleurs la femme leur ressemble. Elle aussi s’épile avec soin la toison pubienne de la même façon que les deux jeunettes. Par contre, l’homme à côté d’elle ne fait aucun effort de ce côté-ci, il a gardé tous ses poils, comme d’autres hommes qu’ils ont croisés sur la plage.
Nous arrivons alors à hauteur d’un couple où l’homme et la femme sont intégralement rasés tous les deux comme nous, ce qui est quand même peu fréquent. Nous ne pouvons nous empêcher de laisser échapper un petit murmure admiratif assorti d’un léger sourire, tandis que je te dis :
— Un sexe est quand même plus beau quand il est bien rasé.
— Tu parles duquel ?
— Des deux.
— Tu t’intéresses aussi au sexe des hommes ?
— Depuis que je suis arrivé sur cette plage, je n’ai jamais vu autant de bites à l’air. Franchement, je préfère en voir une comme cela, bien propre, bien lisse, plutôt que l’autre, toute envahie de poils.
Tandis que nous discutions, le couple qui était allongé n’a cessé de nous observer et même de nous rendre ce léger sourire qu’ils ont eu, mais cela, nous ne nous en rendons pas compte.
3 years ago