L'île Charron

Par un beau dimanche matin ensoleillé, je décide d'aller me promener au parc de la frayère a Boucherville. je me fait un lavement, la douche, plug, string blanc top blanc, mon short bleu très court de fille et mon t-shirt de JALF. Je me stationne ma voiture et me dirige vers les pylonnes d'Hydro, je suis le sentier vers l'est. À un moment, je m'assieds sur une roche et contemple le fleuve, je suis perdu dans mes pensées

- Il est beau notre fleuve

je sursaute

- désolé

Je me relève d'un coup et me retourne, un homme torse nu, 6 pack, en shape

- tu viens souvent ici ? qu'il me demande

- non, première fois

- belle place pour faire des rencontres

- ah oui ?

- comme en ce moment

- ok ???

- habillé comme tu es, tu espère rencontrer, non ?

- peut être

- j'ai le gout de fourrer

- et moi, d'être baiser

- suis moi

il me dirige vers les champs, petit espace entourer d'hautes herbes

- c'est ici que je vais te défoncer

- t'est mieux d'en avoir une grosse

Je reçois une bonne gifle

- hey c'est quoi ton problème ?

Je n'ai pas le temps de réagir, nouvelle baffe et il me prend par la gorge

- je vais défoncer ton sale cul de chienne

je commence a avoir peur, Il m'enlève le t-shirt et le short

- ne vient pas me dire que tu ne veux pas de sexe ?

- en douceur, oui

- je ne connais pas ça la douceur

Il me force à me mettre à quatre pattes, d'une main, m'écarte les fesses

- un plug, sale truie

L'enlève me le met en bouche, se mouille deux doigts et force ma rondelle et me doigte, les retire

- plus un lavement

Me dit-il en les placant dans ma bouche avec le plug

- suce

J'obéis, il enlève son short, oui c'est vrai, il à une bonne queue, 8 pouces mais pas très large. Il se place derrière moi, colle son gland à mon trou et d'un coup, me transperçe et me pilonne avec une certaine v******e

- go, fourre-moi, encule la salope que je suis

- tu aimes ?

- oh que oui, donne tout

- tu en jamais eu une grosse comme la mienne, hein ?

- tu as une belle queue, mais oui j'en ai eu de plus longue et large

Je n'aurais pas du dire cela, une série de claques s'abattent sur mes fesses

- hey, tu me fais mal

- ta guelle

Ses ongles pénètrent ma chair

- Tabarnacle, arrête

il continue d'incruster ses ongles en moi, tout en me fourrant, moi je ne sens plus la douleur, je pousse de petits gémissement et je commence à trembler, l'orgasme monte en moi doucement, je me raidis et jouis

- une vraie truie

Lui aussi, jouit en moi et se retire, je sens son sperme couler
le long de mes cuisses. Toujours à genoux, je me retourne