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Mon premier Glory hole

Mon premier Glory hole

Il y a une chose encore que j’aimerais réaliser, un vrai cette fois: c’est m’aventurer dans un authentique gloryhole.

Sur internet, j’en ai trouvé dans des clubs privés, des clubs échangistes, mais aussi dans certains sex-shops.

Dans ces derniers, je crois trouver une opportunité, car je me vois pas seule m’aventurer dans un club.
Et justement, pour les vacances de Noël, je dois me rendre à Paris chez mon oncle passer quelques jours avec lui et sa famille et je pense pouvoir me libérer quelques heures afin d’en visiter un.
J’ai bien étudié et découvert un établissement qui dispose de ce genre de lieu de plaisir pas très loin d’où je vais, et avec des heures d’ouverture qui me paraissent compatible avec mon emploi du temps.
J’ai lu les commentaires des clients qui dans l’ensemble sont très satisfaits de leur passage dans ce commerce si particulier.

Toute la semaine précédente, je suis très excitée, j’ai très envie d’être au jour prévu pour visiter ce lieu.

Et le jour J est venu, je me prépare, m’habillant de façon très classe et pratique pour pouvoir être nue très rapidement, c’est à dire jupe assez longue, juste une petite culotte, et je prends aussi un peu de matériel pour faire disparaître éventuellement des traces de jouissance et éviter qu’elles ne me collent trop à la peau quand je retournerai dans la rue.

Après quelques hésitations, mais grâce à mon GPS sur mon smartphone, je suis sans grosses difficultés devant l’entrée du commerce, c’est un lieu discret mais assez explicite quand même avec éclairage tamisé et des détails qui ne laissent aucun doute à la finalité de l’échoppe.
Je fais quand même des allers et retours devant pour voir la fréquentation du lieu, et il y a du passage, des hommes seuls mais aussi des couples de tout âge, je n’ai pas vu de femmes seules, oserai-je entrer dans cet établissement de perdition?
Mais l’envie est trop forte, je pousse doucement la porte de l’inconnu.

En premier, j’essaye de me repérer, je le dirige vers le coin vente avec toutes sortes d’objets divers et variés, et pour avoir plus le temps d’étudier la topographie des lieux, je me donne une contenance en regardant les différents DVD a disposition.
Pendant ce temps je repère la clientèle présente et les différents vendeurs et vendeuses.


Je suis quand même un peu perdue dans ce site avec plein de petits coins.
Où se situe les gloryholes?

Aucune idée pour l’instant. J’ose pas demander aux agents du magasin, mais pas très loin de moi je repère un homme d’une cinquantaine d’année, très bien habillé très classe, j’en envie d’essayer d’entrer en contact avec lui.

- Pardon, monsieur, je m’excuse de vous importuner, je peux vous poser quelques questions?

- Bien sur, madame, vous ne me dérangez pas du tout, allez-y, que voulez- vous savoir?

- Et bien voilà, c’est la première fois que je viens ici et je suis un peu perdue, pouvez-vous me renseigner? connaissez-vous bien ce lieu?

- Oui je viens souvent ici, je me doute que vous n’êtes pas une habituée!

- Je voudrais savoir, monsieur, ou se trouve le gloryhole? lui dis-je à l’oreille.

Il me fait un large sourire et me réponds:

- Vous avez déjà été dans un gloryhole madame ?

- Heu, non jamais, enfin j’ai testé une sorte avec des amis mais c’était pas tout à fait un gloryhole.

- Si vous voulez, je peux vous conduire à celui de ce sex-shop.

- Oui, allons y je veux bien, je vous suis.

Et j’emboîte les pas du monsieur, qui traverse le magasin et dans un recoin empreinte un escalier qui nous conduit à l’étage, et nous traversons un petit couloir avec diverses pièces et salles de projection et au fond 2 portes avec inscrit dessus l’objet de ma recherche.

- Voila me dit-il, une cabine est libre, vous pouvez la prendre.

- Voulez-vous entrer avec moi, l’implorais je

- Je ne sais pas si c’est très moral, mais je suis très honoré de vous accompagner pour vous aider.

- Alors suivez- moi je vous en supplie.

Et je prends sa main et l’entraîne à l’intérieur de cette étroite cabine et referme la porte avec le verrou.
Ça me fait tout drôle d’être avec un homme dans cette pièce si petite. Confinée avec lui mais il me rassure avec son charisme et sa délicatesse.

- Aidez-moi à me mettre toute nue, s’il vous plait.

- c’est si gentiment demandé que je ne peux pas vous le refuser, me dit-il avec un léger sourire.

Et il déboutonne mon blazer et me débarrasse de celui-ci, puis il s’attaque à mon chemisier, il a des gestes très élégants, ne se précipite pas mais avec douceur il l’ouvre petit à petit et il découvre mes seins car je n’ai pas de soutien-gorge.

- Oh, comme ils sont mignons, me dit-il!

Je prends sa main et la pose sur un car il n’ose pas le faire, je lui souris en engageant un mouvement de sa main et le laisse continuer seul, doucement il me caresse et c’est très bon.

Après 2 ou 3 minutes de ce traitement, je lui demande de poursuivre ma mise à nue, et il ouvre la fermeture éclair de ma jupe qui descend presque toute seule à mes pieds, il se baisse pour la poser sur une chaise, je n’ai plus que ma petite culotte qu’il saisie de chaque côté et l’abaisse très lentement pour découvrir mon abricot, il a fermé les yeux, se relève, me regarde dans les yeux et me demande:

- puis-je regarder, madame ?

Je le saisis aux épaules et le force à se mettre accroupi pour être bien en face de mon trésor.

Dans un soupir de plaisir il me dit:

- Jamais personne ne m’a fait un si joli cadeau, elle est charmante, c’est la plus belle que j’ai jamais vu de ma vie, et toute lisse comme ça, c’est magnifique!

Je prends une de ses mains et la pose sur ma fente.

- Vous pouvez la câliner avec tout ce qui peux me donner du plaisir et notamment votre bouche.

A ce moment là j’étais effectivement toujours excitée; Et agréablement, il effleure mon pistil, je ferme les yeux pour profiter de cet instant, agrippée a sa tête, je pousse celle-ci pour accoler sa bouche à ma chounette, et il me la lèche divinement, j’ai de plus en plus envie de procurer du plaisir avec ma bouche aussi.

- Au fait comment vous appelez-vous? Lui demandé-je en le forçant à se relever, moi c’est Sandra.

- Moi je m’appelle Nicolas. Vous voulez sucer des inconnus maintenant?

- Oui, j’en salive déjà,

- Appuyez sur ce bouton, par une lampe extérieure cela signale votre intention aux hommes dans le sex-shop à savoir qu’une personne est disposée à recevoir dignement leurs attributs dans le trou prévu pour cela, passez vos doigts dans l’un des 2 ici pour attirer vos premiers admirateurs.

Je suis installée dans la pièce avec un homme que j’ai rencontré sur place qui me guide, je suis nue et j’ai signalé que j’étais prête à donner des pipes.

Mon cœur bat très fort et l’attente n’est pas longue, un homme me dit bonjour et me regarde par là trou assez grand pour recevoir tout le sexe d’un homme.

- Comme vous êtes belle! Me dit- il.

- Merci lui réponds-je, puis- je vous sucer?

- Oh oui, avec joie!

En même temps il se relève et ouvre son pantalon et descend son caleçon pour passer sa queue dans le trou.
C’est une belle bite qui se redresse déjà, je dois lui faire de l’effet, elle durcit très vite et des mes premiers coups de langue, elle est en pleine forme et délicieuse à insérer dans ma bouche, et je goûte cette hampe qui vibre de délectation.

- Regardez me dit Nicolas, en me montrant le 2 émet trou à côté.

Effectivement un autre chiffre est apparu, c’est un black, et de belle taille comme je les aime.

Je la cajole, puis ne pouvant résister, je la goûte et alterne de l’une à l’autre mes gâteries buccales pendant que Nicolas me tripote ma moule qui commence à dégouliner de plaisir.

La fin est proche, j’entends leurs murmures de bien-être, et le premier toc toc toc, je connais déjà ce signal et je me place pour recevoir l’offrande de ce mystérieux garçon qui m’inonde soudain le visage et la bouche de son nectar et j’ai à peine le temps de bien lui nettoyer son écouvillon qu’un autre toc toc toc retenti dès que j’ai repris en bouche la verge ébène qui explose d’une abondante décharge aussi considérable que la taille du canon, et je me délecte en briquant avec ma langue les excédents de sauce qui maculent son gland, et je goûte à ce foutre en souriant à Nicolas qui n’a cessé de titiller mon abricot,

- Tu es super bandante avec ce visage recouvert de sperme me dit- il.

Les deux messieurs épuisés me remercient de l’extra que je viens de leur procurer et m’encourage à revenir dans ce lieu de plaisir, ils aimeraient me revoir une autre fois et me disent qu’ils ont particulièrement apprécié ma prestation, bien meilleur que la plupart des autres expériences qu’ils ont connus à la même place.

A peine partis, il doit y avoir la queue dehors, si je puis dire, car 2 nouvelles zigounettes jaillissent, totalement différentes, une toute rasée, l’autre très poilue et comme je préfère, vous le savez, les monts chauves, c’est elle qui va avoir l’honneur de ma langue sur tout son sexe, je vais fouiner dans tous les recoins et la déguster entièrement.

L’autre, je vais pas cracher dessus, je vais la branler fort et juste son gland visitera ma bouche.

J’adore lécher les couilles bien dégagées et rasées de près comme j’ai devant moi, j’en profite pleinement et le monsieur qui a eu cette bonne idée, il a droit à la totale, j’explore chaque renfoncement de ce sexe tandis que je me contente de branler l’autre, fort quand même, et la magie du contact de ma langue et mes lèvres opère le miracle escompté et à son tour il m’averti en toquant sur la cloison et il joui en criant son bonheur, il me rempli la bouche de délicieux sperme que j’ingurgite en continuant de sucer sa queue pour déguster cette substantifique moelle.

Il me remercie chaleureusement du sympathique moment que je lui ai procuré.

Nicolas s’est accroupi derrière moi, il me lèche ma fente superbement bien, je suis juste penchée pour sucer le gland du sexe de l’homme de Cro-Magnon, et comme il a garder son instinct primitif j’ai aucune peine a le faire partir dans un râle de bête sauvage, je me suis mise face à lui pour le recevoir partout sur le visage, lui aussi a de la réserve car il m’en met vraiment partout. Il se retire comme il est venu, à part ses cris je ne connais pas le son de sa voix, sans aucun merci.

Je regarde par 1 des trous et je découvre 2 jeunes garçons qui attendent leur tour, ils ont l’air très jeunes, et ils se sont mis tout nu, je suis très heureuse de découvrir leurs beaux sexes dresser, ils doivent être déjà très excités.

- Venez, n’ayez pas peur, vous voulez me contempler?

Je me redresse un peu à distance pour qu’ils aient une vue d’ensemble, et ils ne sont pas déçus et me le font savoir.

- Vous êtes trop belle, madame avec votre fente dégagée, elle est sublime!

- Comment vous appelez-vous? moi c’est Sandra

- Moi c’est Yann et mon copain Erwan.

- Vous êtes des amis c’est ça ?

- Oui, c’est la première fois que qu’on ose entrer dans un sex-shop, à deux c’est plus facile, nous voulons vous prévenir pour que vous ne soyez pas déçue, c’est la première fois aussi pour tout les deux qu’une femme, si vous le voulez, nous sucera, on rêve de cela depuis bien longtemps, mais aucune fille n’a voulu nous initier malgré nos nombreuses sollicitations, c’est pourquoi nous sommes ici.
Il ne faudra pas être trop pressée, car sinon je crois que nous ne tiendrons pas longtemps, voyez déjà comment vous mettez notre bite! C’est très impressionnant.

J’approuve, et pour les rassurer, je leur explique que moi aussi ma première fois ici, j’étais bouleversée.

Je les trouve craquant tout les deux, et leur faire découvrir la chose, me séduit et je mouille encore plus.

Leur pine est très mimi, peu poilue, de taille moyenne mais parfaitement redressée, je les invite à venir me l’offrir, ça m’émeut beaucoup de les sentir timides et j’ose pas trop me précipiter car ils doivent être surexcités, et ça me touche beaucoup de leur faire connaître leur premier émoi, j’ai même l’impression que juste en effleurant leur membre, cela déclenchera l’opération de non retour, j’espère leur procurer un plaisir moins instantané, mais je ne suis pas sûr qu’ils pourront retenir ce moment un temps soi peu.

Pour le moment je suis très prudente je saisi juste leur anguille sans même la branler, elles sont horriblement dures, je les caresse doucement l’un après l’autre pour leur laisser le temps de récupérer, je leur fais des bisous autour de leur sexe, sur le peu de chair qui m’apparaît par la fente du gloryhole, je m’aventure sur leurs cacahuètes, des petits coups de langue et je remonte sur leur tige sans insister trop longtemps, je les sens vibrer, je crois que malgré toutes mes précautions, ils ne pourront pas tenir, alors pour leur faire connaître le délice d’avoir sa queue dans la bouche d’une fille, je mets leur gland turgescent entre mes lèvres chacun leur tour, juste avec la bouche sans les mains. Je perçois que ce traitement, même très délicat et rapide, les rapproche considérablement de l’extase finale, ce que je demande secrètement c’est qu’ils ne jouissent pas en même temps pour ne pas manquer de goûter toute leur potion magique qu’ils ont en réserve, et pour cela je choisis de me concentrer sur Yann en premier, je fais coulisser le gland entre mes lèvres de plus en plus loin et de plus en plus vite, et après quelques allers et retours, la queue bien décalottée, elle explose et je prends des jets puissants dans la bouche, je le branle pour bien le vider, sa queue ressortie de ma bouche finie d’expulser ses derniers jets sur mes lèvres, mon menton et mes pommettes. Il est très prolixe, et je le resuce pour bien le vidanger jusqu’à la dernière goûte.

Et je passe tout de suite à Erwan qui attend, bite en l’air de subir le même sort, avec ce qu’il a vu et imaginé il doit avoir du mal à se retenir.
Je le prends en bouche, le branlant délicatement en introduisant son pénis serré entre mes lèvres et ma langue flatte sa verge par dessous.
Soudain il se contracte et de légères secousses agitent son membre qui libère instantanément sa semence dans ma bouche au départ puis sur mes lèvres.
Tranquillement, je passe ma langue sur tout son zob dégustant le moindre dépôt de sperme, vu les petits cris de contentement qu’ils ont poussés, je pense qu’ils ont apprécié la prestation.

- Voulez- vous les faire venir avec nous me susurre à l’oreille Nicolas, c’est dommage de les quitter si vite.

Je trouve l’idée excellente et je l’approuve, il va les chercher et referme la porte derrière nous, c’est un peu à l’étroit, mais tellement agréable d’être tout près, je les examine sous tous les angles, ils sont beau entièrement nus, la bite toujours bandée, ils ont des ressources !

Nicolas leur propose de me donner un baiser si bien mérité, je crois qu’ils ne sont pas opposé à cette pensée, j’ai du foutre partout, impossible d’opérer sans goûter à toutes ces décharges de garçon qui s’étalent sur mon visage et dont j’ai encore la saveur dans ma bouche.
Moi aussi j’ai très envie de leur faire goûter ses fluides, pourquoi juste les femmes auraient-elle droit à ce traitement, et sans chichis je me rapproche doucement mais sûrement vers eux et je saisis Yann par la nuque pour coller ses lèvres sur ma joue et le rapprocher des miennes, il joue admirablement le jeu car il a sorti sa langue pour récupérer de la semence et me donne un baiser mélange de salives, de spermes et de langues, plusieurs fois je change tour à tour de garçon et c’est un délicieux moment que nous partageons à trois.
Je les garde pour leur faire découvrir comment caresser les seins et la chatte d’une femme.

Ils étaient des puceaux de tout ce qu’une femme peut offrir d’agrément à un garçon, et ils me déclarent qu’ils se souviendront toute leur vie de notre rencontre.
Je leur souris une dernière fois avant de les libérer, car j’ai encore envie pour finir de remercier comme il se doit Nicolas, qui m’a si bien soutenue, caressée et sucée pour augmenter ma concupiscence, et pour cela rien de plus facile que d’allier l’utile à l’agréable.

Je lui propose donc de le satisfaire aussi dans ma bouche toujours pas saturée, ce jour avec 7 pipes je bâterais haut la main mon record.
Je ne lui laisse pas le temps de me répondre en dégrafant son pantalon et en le baissant ainsi que son caleçon pour libérer sa belette qui a l’étroit se déplie ferme et droite comme un bâton de berger, c’est la première fois que je suce un homme mur de cette âge, la cinquantaine, mais je ne suis pas déçue, au contraire, je la fais reluire comme à aucun de ses prédécesseurs, car il tient le choc et je dois m’activer pour réussir à lui faire rendre l’âme.
Cela dure bien 30 minutes avant de m’arroser une dernière fois le visage. Je m’applique à bien lui faire disparaître toute trace sur sa queue.

- Vous êtes vraiment une femme formidable, me dit -il, venez je vais vous aider à éliminer tout stigmate de nos frasques.

Et il me lèche depuis le ventre, mes seins, mon cou, mon visage, récupère avec sa langue les traînées de sperme de tous les garçons pour finir par un énorme baiser qui nous lié à jamais par le goût de cette étreinte.

Après avoir réglé plein de petits cadeaux et souvenirs, qu’il m’offre bien sûr, ce gentleman me laisse son numéro de portable si je souhaite poursuivre nos libertinages encore plus loin dans l’inconduite.
Published by laptitesandra
3 years ago
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Jadoreleschiennes
Jadoreleschiennes 7 months ago
Incroyable !! 
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caso29
caso29 8 months ago
Quelle lecture hyper excitante, je me suis cru être Nicolas dans la cabine avec vous :heart:
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 1 year ago
Mon sexe rigide et mes couilles lisses et pleines sont jaloux de votre langue Sandra !
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encage57
encage57 2 years ago
magnifique récit
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Acke70 2 years ago
C'est malin, j'ai le ventre plein de foutre ménnant !!!! Merci pour ce gluant partage, j'aurais tellement être à la place de Nicolas...
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mature-61
mature-61 3 years ago
Toc toc toc ..... Ooohhhhhh !
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Clit-IsGood
Clit-IsGood 3 years ago
j'en ai la belette tout émoustillée
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Sylviane93 3 years ago
Superbe histoire,,y a t il une suite ?
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