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Premier cocufiage

Premier cocufiage

Auteur : Vordh


C’est notre histoire, tout est vrai, dans les moindres détails, à l’exception des prénoms que j’ai modifiés pour des raisons évidentes d’anonymat.

Laura et moi nous sommes rencontrés en terminale, et ne nous sommes plus jamais quittés. Approchant la trentaine et follement amoureux l’un de l’autre, nous avons décidé il y a trois ans de nous marier. Nous vivions une idylle : jeunes, beaux, éduqués, des parents aimants, une route toute tracée vers le bonheur et la quiétude.

Il existe un mot dans la langue anglaise qui nous définit : « sweethearts » , qui pourrait se traduire par « amants de jeunesses » , ou bien « amoureux de toujours » . Cette définition représente beaucoup pour moi : c’est le fait d’avoir grandi ensemble, d’avoir tout partagé jusqu’à nos amis qui sont devenus un groupe commun, de n’avoir aucune barrière ni non-dit.

Et pourtant, nous restons humains.

Je suis un homme, elle est une femme, nous avons des besoins et des désirs comme tout le monde. Notre statut d’amoureux inconditionnels ne nous en protège pas, bien au contraire, voilà bientôt treize ans que nous ne n’avons connus que nos deux corps et ce serait mentir de dire que nous ne sommes pas attirés par la tentation de l’inconnu !

J’ai toujours canalisé ces désirs par une consommation excessive de pornographie : je suis un expert en la matière. Plutôt un expert-ninja, car je suis le seul au courant, personne ni même mes amis proches ne se doutent de cette addiction. Je cache cette passion avec beaucoup de précautions et ne laisse rien paraître ! Pire encore, je suis arrivé à convaincre ceux qui me posent la question que la pornographie ne m’atteint pas, que j’ai essayé plusieurs fois, mais que ça ne m’intéresse pas vraiment. Bref, un bel hypocrite, mais je ne suis sûrement pas seul à agir comme ça, c’est probablement d’époque.

À l’heure où j’écris, Laura vient d’avoir trente et un ans. Elle est magnifique, le monde entier me l’envie. Ses grands yeux verts à la pupille dilatée lui donnent l’air de la passion, ses longs cheveux blonds celui d’un ange. Elle a un corps de gazelle, naturellement bien foutue. Vous savez, elle fait partie de ces filles que toutes envient : elle peut manger n’importe quoi sans faire de sport et son corps reste le même ! Comme quoi la génétique joue sûrement un rôle important dans tout ça, mais ce n’est pas le sujet alors, revenons-en au fait.

Je crois que je suis aussi un bel homme, je sais que j’ai du succès et que je pourrais me taper à peu près n’importe quelle nana. Mais je ne l’ai jamais fait. Pourquoi ? Par peur tout simplement. J’ai peur et j’ai réalisé ça récemment lors d’une occasion qui s’est présentée à moi, je crois que le manque de diversité dans mes partenaires sexuelles a fait de moi une sorte de puceau du second degré. Coucher avec une autre serait clairement comme une nouvelle première fois.

Donc je me complais dans la pornographie, aussi diverse et perverse dans le contenu qu’elle puisse l’être en 2019. Rien ne m’arrête. Je connais tous les sites par cœur : images, vidéos, histoires, GIF, forums, tout y passe.

J’ai mes petites habitudes, mais aussi mes humeurs ! Des fois, j’aime jouir devant une vidéo d’une petite nénette de vingt ans qui se masturbe ; d’autres fois, ce sera au tour d’une MILF de se faire prendre par un groupe de grands mecs tatoués. Bref, le grand classique du tabou pornographique masculin, ses lésions émotives et autres perversions inoculées à toute ma génération. Je me souviens que je m’imaginais à la place des types. Je voulais baiser, me faire sucer, et toutes les pratiques qu’ils faisaient avec ces filles toutes plus magnifiques et dévergondées les unes que les autres.

Et puis petit à petit, je ne sais pas pourquoi ni comment, j’ai commencé à imaginer Laura à la place des nanas. Ça m’excitait beaucoup. Beaucoup plus que de m’imaginer moi à la place des mecs ! J’ai donc changé mes habitudes et mes préférences pour me tourner vers du contenu où les filles lui ressemblaient physiquement. Puis du porno amateur ! Parce que beaucoup plus vrai. J’imaginais que c’était elle, qu’elle avait fait ça sans me le dire, qu’elle avait un amant et qu’elle se lâchait complètement avec lui, sans rien me dire.

La jalousie, la haine, l’amour et l’excitation sexuelle. Tout ça mélangé créait un cocktail émotionnel explosif imbattable. Le porno classique est devenu fade, rien d’autre ne m’intéressait que d’imaginer la femme que j’aime se livrer à un autre homme. Rien.

Cette transition de goûts en matière de pornographie a eu un énorme impact sur notre vie sexuelle, j’avais du mal à faire l’amour « simplement » , il me manquait quelque chose. J’ai tenu plusieurs années sans rien lui dire jusqu’à un soir où une dispute a éclaté. Je vous passe les détails de notre querelle, mais c’était l’une de celles dont on se souvient longtemps, celle qui démarre discrètement, mais qui finit en tsunami. On a tout mis sur la table, le sexe est arrivé en dernier comme toujours, car c’est souvent le sujet le plus important et celui qu’on n’ose pas aborder. J’ai fini par lui avouer. Je lui ai dit que je fantasmais sur elle, prenant du plaisir avec un autre, que c’était devenu une vraie obsession.

Sa réaction a été plutôt surprenante : elle a souri et semblait soulagée, je crois qu’elle pensait très fort que j’allais lui dire que j’avais besoin d’aller voir ailleurs, ou que je l’avais même déjà fait. Ma confession a mis un terme à notre dispute, on a fait l’amour comme des dingues, c’était très intense.

Les jours ont passé et elle ne m’a pas reparlé de ça. Pour moi, c’était un vrai sujet : je lui avais montré une face cachée de ma vie, mon terrible secret que personne ne connaissait. Pour elle, c’était juste un délire de ma part. J’ai pris les devants et ai commencé à être plus entreprenant, nous avons ajouté un peu de vulgarité quand nous faisions l’amour, nous parlions ouvertement de faire un plan à trois ou d’autres choses de ce genre, mais toujours dans l’hypothétique et la fantaisie.

Un soir, on sort du resto un peu allumés après une bouteille de vin et elle démarre la conversation :

— Ça t’excite vraiment ?
— Quoi ?
— Ben… Tu sais, moi avec quelqu’un d’autre.
— Oui
— Et tu penses que…
— Quoi ?
— On pourrait le faire.


Je me souviendrais toujours de ses mots. « On pourrait le faire » . Mon estomac s’est crispé, mon cœur s’est mis à battre comme un dingue.

— Qu’est-ce que tu veux dire ?
— Que c’est facile, il suffit de trouver un mec qui me plaît.
— Mais… OK… peut-être, enfin je ne sais pas ! Tu crois ?
— Oui, si tu veux on peut essayer.


J’ai réalisé que je me trompais complètement : je pensais que ma révélation ne l’avait pas touchée plus que ça, que c’était une fantaisie pour elle, mais pas du tout, et très loin de là, elle ruminait ce plan depuis ce fameux soir où je lui ai tout avoué. C’est une femme et elle ne déroge pas à la règle : elle n’oublie rien, montre peu, et quand elle a décidé quelque chose c’est que c’est mûrement réfléchi.

On est rentré à la maison et on a discuté de ça pendant une bonne heure. Les bases étaient posées :

1. J’étais en charge de faire une liste de mecs potentiels. Inconnu obligatoire, pas d’ami, de proche ou même de connaissance. Pas de personne liée au cadre de nos boulots.

2. Elle choisirait un des mecs de la liste.

3. Rendez-vous dans un lieu public pour faire connaissance.

4. Chambre d’hôtel si on se décide à franchir le pas.

5. Elle lui ferait uniquement une fellation.

6. Je serai présent tout le temps.

En allant se coucher, on a encore fait l’amour comme des amants ! Je me disais que ça faisait longtemps que j’aurais dû prendre les devants, on redécouvrait notre sexualité.

Les jours suivants j’ai donc commencé mes recherches, petites annonces sur internet à droite à gauche. J’ai rapidement construit ma liste de candidats en faisant des recherches de fond sur chacun d’entre eux. Je ne vous cache pas que ça a été très facile, beaucoup de mecs sont prêts à tout pour la moindre faveur sexuelle ! J’ai reçu plus d’une centaine de candidatures et j’en ai retenu seulement dix. Tous m’ont envoyé des photos, leur nom complet, leur situation, et même des lettres de motivation !

Ils me demandent s’ils pourront aussi la baiser, ils ne comprennent pas qu’on ne s’autorise qu’une fellation. J’avoue les comprendre et d’ailleurs c’est une idée de Laura, je crois qu’elle cherchait à ne pas aller jusqu’au bout pour ne pas trop déséquilibrer la situation, peut-être qu’une fellation c’était pas grand-chose à ses yeux. Pour moi, c’était presque encore pire. Elle allait donner du plaisir sans en recevoir, elle allait être un jouet sexuel, un vide-couilles. Ça m’excitait terriblement.

Je lui ai montré ma sélection, elle a rapidement choisi celui qui lui plaisait le plus. Je n’étais pas surpris, c’était un mec qui me ressemblait à peu de choses près. Il s’appelait Mathieu, c’est un type de trente-quatre ans qui bosse dans l’informatique.

On s’est donc contacté et donné rendez-vous en début de soirée dans une brasserie pas trop loin de chez nous, j’avais aussi pris le soin de réserver une chambre dans un hôtel proche, au cas où ! Et puis le grand soir est arrivé. Je l’ai regardée se préparer pendant quelques minutes, elle s’est faite jolie, s’est maquillée, elle semble aussi excitée que moi. Nous quittons notre appartement pour nous rendre au point de rendez-vous, on s’attelle au bar et on commande à boire en attendant qu’il arrive.

Je l’ai tout de suite reconnu, il était plus grand que ce à quoi je m’attendais. On s’est dit bonjour, Laura a rougi comme une gamine quand il lui a fait la bise, il s’est assis avec nous et a commandé un verre. C’est marrant, on était tellement gênés qu’on a discuté de tout sauf de ce pour quoi il était là ! On est de nature plutôt timide, lui l’est moins, mais ça ne nous aide pas vraiment pour le moment.

Il est sympa, il est beau gosse, on est issu du même milieu socio-culturel. Ça pourrait être un pote. Le feeling est plutôt bon et il plaît beaucoup à Laura : c’est tout ce qui compte.

Une petite heure est passée et l’alcool commence à faire son effet : la situation est plus détendue qu’au début, on rit, on parle de tout et de rien. Je crois qu’il commence à comprendre qu’il va falloir qu’il prenne les devants, il profite donc d’une fin de conversation pour poser sa main sur la cuisse de Laura, me regarde et nous demande :

— Alors, on fait ça où ?


Ces mots aussi terrifiants qu’excitants ont eu l’effet d’une bombe, j’ai vu ma Laura le dévorer du regard, les yeux dégoulinants de désir ! Il était inutile de lui poser la question : elle en avait envie. Mon cœur battait la chamade, je n’arrivais pas à croire qu’on allait le faire.

— J’ai réservé une chambre d’hôtel, c’est juste à côté. Laura, tu veux qu’on y aille maintenant ?
— Je ne sais pas, Mathieu, tu n’as pas fini ton verre ?


Il a pris son verre et l’a terminé cul sec, nous a regardés en souriant puis est sorti du bar en nous regardant par-dessus son épaule comme pour nous inviter à le suivre, ce qu’on a fait. Il s’est allumé une cigarette.

— Il est loin votre hôtel ?
— Cinq minutes à pieds
— OK, allons-y alors !


Il semblait peu à l’aise de s’isoler avec deux parfaits inconnus, ce que je comprends tout à fait, c’était aussi notre cas de toute façon, mais il fallait bien se faire confiance pour continuer notre petit jeu.

J’ai commencé à marcher, Laura est venue marcher à côté de moi et s’est blottie contre mon épaule, elle me caressait le bras. Il était derrière nous, fumait sa cigarette et souriait en regardant son téléphone. Nous n’avons pas dit un seul mot de tout le trajet jusqu’à l’hôtel, la tension était à son comble.

On est arrivé à l’hôtel en cinq minutes, comme prévu. Je suis allé récupérer les clefs et on a pris l’ascenseur, toujours par un mot.

J’ai ouvert la porte de la chambre, on est rentrés, j’ai fermé la porte. À ce moment-là, le deuxième gros malaise de la soirée, on n’a pas trop su comment embrayer ! On s’est regardé tous les trois, en souriant, gênés. Il a une fois de plus pris les devants et est allé s’asseoir sur le bord du lit, il a jeté un coup d’œil à la chaise du petit bureau puis m’a regardé. J’avais compris qu’il m’indiquait que je pouvais m’asseoir là pour contempler le spectacle. Je suis allé m’y asseoir, plutôt machinalement. Puis il a regardé Laura et lui a dit :

— Tu viens ?


Elle m’a regardé, ses yeux me demandaient une dernière approbation avant de franchir le point de non-retour. J’ai hoché la tête.

Elle s’est dirigée vers lui, il était toujours assis sur le rebord du lit, elle s’est mise à genoux. Il s’est un peu étendu en arrière, sur ses coudes et il lui a souri. Elle l’aide à enlever sa ceinture, puis dézippe sa braguette et tire son pantalon vers le sol, il porte un caleçon ample qui rejoint rapidement son pantalon sur ses chevilles. Il a l’air d’avoir un gros sexe, non circoncis et très poilu.

Un moment de pause, je suis dans un état indescriptible, à la fois captivé, tétanisé, excité, complètement spectateur de la situation. Elle est là devant lui, elle contemple sa queue puis le regarde en souriant. Elle tend sa main vers lui, prend sa bite en main commence à le masturber. Il commence à bander. Ça n’a pas duré longtemps, peut-être trente secondes à tout casser avant qu’elle n’approche sa tête de son entrejambe. Elle tire un peu plus fort pour le décalotter et libère un gros gland violacé, elle se penche au-dessus, ouvre la bouche et l’enfourne à l’intérieur.

Elle le suce. Doucement, il continue de grossir dans sa bouche. Je compare son sexe au mien : finalement, il n’est pas si bien monté que ça et ça me rassure en quelque sorte. Ils sont seuls dans leur acte. Je n’existe plus, depuis que ça a commencé aucun des deux ne m’a regardé ni même prêté attention à ma présence.

La fellation s’intensifie, il y a des bruits, beaucoup de salive, ça commence à sentir le sexe dans la chambre. Il se redresse et pose sa main derrière la tête de Laura, pour la guider. Il est très doux il ne la force pas, mais ce geste multiplie par cent le potentiel érotique de la situation.

Je n’arrive toujours pas à croire que je regarde ma femme tailler une pipe à un mec qu’on ne connaissait pas il y a deux heures, et visiblement elle y prend beaucoup de plaisir. Je ne l’avais pas vue dans un tel état depuis très longtemps, elle fait de son mieux pour lui octroyer un maximum de plaisir. Elle se tortille dans tous les sens, je la connais bien et je sais qu’elle doit être trempée, tout excitée.

Je sens que l’action touche à sa fin, ça fait tout juste cinq minutes, mais je suppose que le caractère incongru de la situation fait que la pression monte plus vite ! Elle a adopté un rythme constant avec une savante combinaison d’allers-retours main / bouche, il regarde le plafond, bouche ouverte et yeux fermés.

Je l’entends chuchoter :

— Attention, je vais jouir…


Elle continue son travail sans broncher, et pose sa main gauche sur sa cuisse pour lui montrer qu’elle a entendu, il comprend qu’il peut envoyer la purée.

Il a commencé à éjaculer dans sa bouche, en la regardant avec un air énervé, les veines de son visage toutes gonflées, comme un homme qui jouit. Elle a ralenti le rythme, continué tout doucement pour qu’il termine en douceur. Sa bouche était remplie de son sperme dont une bonne partie coulait le long de ses joues. Il a pris sa bite et l’a sortie de la bouche de Laura, l’a tapotée sur ses lèvres comme pour égoutter les derniers restes de sa semence. C’est de loin le geste qui m’aura le plus marqué.

Il s’est redressé, elle s’est relevée et est partie dans la salle de bain, je l’ai entendu cracher dans le lavabo. Il m’a regardé, il a haussé les sourcils et pincé sa bouche, il s’est levé, rhabillé et puis a dit :

— Bon, ben je vais y aller, merci pour tout, j’ai passé un super moment.


Et comme un con, j’ai répondu :

— De rien, merci à toi.


Il m’a serré la main, m’a dit qu’on pouvait le rappeler quand on voulait. Il a regardé Laura dans la salle de bain et lui a fait un signe de la main pour lui dire au revoir, elle lui a souri. Il est parti.

On s’est retrouvé tous les deux, elle est sortie de la salle de bain et m’a regardé avec ses grands yeux verts. On s’est sauté dessus, je l’ai baisée comme jamais. Tout y est passé, je l’ai même enculée ce qui est plutôt rare ! Clairement la meilleure partie de jambes en l’air de notre vie.

Je crois que la voir faire ça lui a redonné son statut de femme à conquérir, c’est con, mais je crois que c’est quelque chose comme ça. J’avais envie de lui montrer que j’étais meilleur que lui, qu’elle était à moi.

Nous avons peu de recul sur la situation, car c’est tout frais, et ma réaction est encore à chaud, je suis incapable de dire si cela ne va nous détruire à petit feu, si ça ne va pas être un sujet de dispute à long terme. Pour le moment, la seule chose dont je sois sûr, c’est que notre vie sexuelle a pris un sacré coup de boost ces derniers jours !

Nous n’en avons pas parlé, mais pour l’instant, nous n’avons pas prévu de réitérer l’expérience.
Published by grandalfo
3 years ago
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hetbas13
hetbas13 2 months ago
Une situation que je partage. Maintenant je ne regarde pratiquement que des vidéos candau et comme toi j'imagine ma femme.. comme l'héroïne de ces vidéos...
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ropaul45
ropaul45 1 year ago
bon récit bien raconté, merci !
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couple74
couple74 3 years ago
une façon comme une autre de rebooster  un couple pour eviter la monotonie..
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cplheureux
quand le mari accepte la femme ne dit pas non tout les deux profite 
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Darkside_34
Darkside_34 3 years ago
Superbe récit, je m'y retrouve totalement...
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