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LUCILE & LUCILE /2

LUCILE & LUCILE /2

Je ne suis pas encore au portail du chantier que le téléphone sonne dans les enceintes de ma voiture. Je décroche depuis le volant.

- « Allo »
- « Laurent, c’est Lucile (II) »
- « Oui Lucile, que ce passe t’il ? »
- « Simplement pour savoir si vous aviez un créneaux demain matin pour se voir sur le chantier ? »
- « Non, désolé je suis en réunion de chantier toute la matinée. Si vous voulez je suis dispo vendredi matin vers 8h30 »
- « Ok, je libère mon agenda pour vendredi matin. Je ne vous dérange pas plus, merci et à vendredi »
- « Ok, à vendredi »

Lucile I avait raison, elle n’avait pas tenu une semaine, tout juste vingt quatre heures si j’avais accepté son rendez vous. Je n’ai pas voulu bouleverser mon agenda pour la faire un peu patienter. Et, même si je mourais d’envie de m’occuper d’elle, je ne voulais pas paraître comme un mort de faim.

Le vendredi matin, j’arrive sur le chantier vers 8h. Le chef de chantier m’interpelle et me demande si j’ai besoin de lui, s’il y a quelque chose à voir en particulier. Je le rassure et lui dis que la fin de chantier approche et que j’ai une réunion avec la direction pour définir les choix de finitions. Je me dirige vers le bungalow faisant office de salle de réunion, entre, mets la machine à cafés en chauffe et pose quatre croissants dans une assiette.
Tel un métronome, Lucile II ouvre la porte du bungalow à 8h30 tapantes. Elle apparait avec un grand sourire dans un jeans bleu marine très moulant, un chemisier fleurie multicolore et montée sur des talons d’une dizaine de centimètres. Elle regarde les croissants sur la table et en me regardant dans les yeux me dit en s’enroulant à mon cou:

- « J’adore les petites attentions de ce genre »
- « Nous n’allions pas boire le café sans rien avaler ? Par contre vous n’avez pas mis vos chaussures de sécurité, vous n’allez pas aller faire le tour du chantier en escarpin ? » dis-je en souriant
- « Je n’ai pas l’intention d’aller sur le chantier aujourd’hui » me répondit-elle en posant ses lèvres sur les miennes.

Un baiser identique à celui de mercredi, doux, naturel et langoureux. C’est le total opposé des baisers de sa copine. Lucile II aime le calme, la tendresse, la douceur et la délicatesse. Lucile I aime la vitesse, la rudesse, la brutalité et la v******e. Deux Lucile à mes pieds, deux bons moyens de m’éclater en leur donnant du plaisir très différemment.
Après ce premier et long baiser, je lui propose de s’asseoir et m’occupe de nous faire couler deux expresso. Je pose les cafés sur la table et m’installe à ses cotés. Nous prenons tranquillement notre petite collation pendant laquelle Lucile II me raconte un peu sa vie. Elle est mariée à David depuis 14 ans à un homme qui l’aime et qu’elle aime. Ils ont deux beaux enfants et vivent en harmonie dans une jolie petite maison dont ils sont devenu les heureux propriétaires il y a quelques mois. Je l’interroge sur le pourquoi de ce rendez vous et sa réponse est sans ambiguïté. Malgré la taille très honorable du sexe de David, elle a besoin de plus gros pour atteindre l’extase absolue. Ils utilisent ensembles quelques subterfuges pour palier à ce problème, mais tous les sextoys du monde ne remplaceront jamais la chaleur et la vivacité d’une belle et grosse queue. C’est d’un commun accord et par amour qu’ils ont décidé de rechercher un amant régulier pour des parties de plaisirs à deux ou même à trois. J’étais donc là pour une audition, un essai.
L’assiette et les tasses vides, Lucile II se lève, débarrasse et passe une lingette sur la table de réunion. Je me lève, l’att**** par les hanches et la serre contre moi. Nos lèvres se caressent, s’entrouvre puis s’ouvrent pour laisser passer nos langues qui virevoltent avec délicatesse dans nos bouches respectives. Mes mains caresses son dos, ses larges hanches et ses fesses rebondies puis glissent entre nos corps et commencent à déboutonner son chemisier. Lentement, le décolleté s’ouvre, nos bouches se séparent et mes yeux découvrent la dentelle bleue brodée de fleurs rose fuschia qui cache, plus que ne soutien, la petite poitrine de Lucile II. Arrivé au bout du chemisier, je le lui retire délicatement et le pose sur le dossier d’une chaise. Je caresse sa peau douce, mes mains remontent de sa taille vers ses seins, passent par son ventre plat et musclé, puis glissent dans son dos pour y dégrafer le dernier rempart et libérer ses petits seins. Le soutien-gorge tombe, mes mains se posent sur les deux petites demi-pommes surmontées de gros tétons. En effet, ils me paraissent presque surdimensionnés pour la petite taille de sa poitrine. Ils sont presque aussi gros que la dernière phalange de mon petit doigt et sont posés sur des aréoles brunâtres de petite taille. Ses seins dans le creux de mes mains, j’embrasse son cou depuis son oreille jusqu’à sa clavicule, reviens sur sa bouche pour un long baiser langoureux. Mes mains glissent et s ‘attèlent à dégrafer sa ceinture, ma bouche baise son menton, son cou puis ses seins. Mes lèvres enserrent le téton moelleux, ma langue le titille mes dents le mordillent. Il perd de sa souplesse, gonfle et durcit. Mes doigts déboutonnent le pantalon et font descendre le zip de la fermeture éclair. Je m’assois sur la chaise, embrasse le ventre plat et musclé de Lucile. Elle reste passive, son pantalon entrouvert laisse entrevoir la dentelle de sa petite culotte bien assortie à son soutien-gorge. J’att**** le pantalon à hauteur des hanches et essais de le faire glisser, Lucile décolle légèrement ses fesses de la table et se dandine en faisant des petits mouvements du bassin pour me permettre de baisser le vêtement. Il est si moulant, que la culotte descend en même temps, comme si elle était partie intégrante du pantalon, et m’offrant une vue imprenable sur son pubis, puis son sexe glabre. Je pose mes lèvres sur sa peau lisse et fraichement épilée tandis que mes mains se battent toujours avec son pantalon récalcitrant qu’elles abandonnent au niveau de ses genoux. Les jambes serrées, ligotées par un pantalon très moulant, une main sur sa nuque, l’autre sous ses genoux, je la fais basculer sur la table de réunion. Tout en maintenant ses jambes vers le haut, je me rassieds fasse à son postérieur dénudé, tendu et offert. Sa vulve généreuse s’échappe d’entre ses cuisses serrées, ses fesses tendues et ouvertes ne cachent rien de la pastille brunâtre qui entoure son anus dans lequel je pourrai glisser un doigt sans effort, tant il est ouvert par la position dans laquelle elle se trouve. Lucile passe ses bras sous ses genoux pour se maintenir dans cette position, me permettant d’être libre de tout mouvement. D’une main et en admirant ce merveilleux tableau, je caresse superficiellement les grandes lèvres gonflées, mes doigts parcourent sa fente sans s’y glisser, du mont vénus jusqu’à l’anus. Je la caresse ainsi pendant plusieurs minutes, lentement, accompagné par sa forte respiration et de petits tremblements lorsque mon doigt frotte délicatement la peau fripée de son anneau anal. Je pose mes mains sur la peau douce de ses cuisses pour venir couvrir de baisers son sexe appétissant qui lâche déjà quelques larmes de plaisir. Quelques gouttes de cyprine s’échappent et suintent d’entre ses petites lèvres, glissent sur le périnée et disparaissent dans son anus entrouvert. Je pose ma langue sur son anus et remonte en appliquant une légère pression pour ouvrir cette vallée des merveilles, et la faire passer de paysage de désert vallonné et aride à une vallée luxuriante aux plaines marécageuses. Dès le premier passage de ma langue, Lucile gémit de plaisir, elle est réceptive à mes caresses. Ma langue découvre chaque recoin de son sexe, visite son intérieur, rend hommage à son bourgeon gonflé, fier comme peu l’être le gardien d’une si belle merveille, et promène dans sa petite dépendance. Lorsque ma langue s’introduit dans son anus, Lucile semble être aux anges, ses gémissements se transforment en encouragement, et lance une succession de « oui », qui me fond penser immédiatement qu’il n’y aura aucune réticence à une visite approfondit des lieux. Après avoir tournoyée dans cet orifice, ma langue remonte, lécher, laper le succulent nectar que son chaud vagin fabrique et libère sans cesse. Les mains de Lucile quittent ses genoux pour s’agripper à mes cheveux et écraser mon visage contre son sexe que je maintiens ouvert de mes pouces. Je frotte et écrase d’une pression de ma langue son clitoris. Lucile chante son bonheur, elle est emportée par un premier orgasme. C’est une véritable mousson, son vagin est envahi par un flot de cyprine qui inonde son vagin et s’écoule vers son anus. J’en récolte et en avale un maximum. Son jus est fluide, presque sucré, un véritable délice. Ses mains relâchent la pression, l’orage s’estompe peu à peu, sa respiration ralentit. Les spasmes s’espacent et laissent place au calme, elle est détendue.
Je me lève délicatement en glissant ma tête entre ses mollets. Un escarpin contre chacune de mes oreilles, je dégrafe ma ceinture, déboutonne mon 501 qui tombe sur mes chevilles et baisse mon caleçon, libérant mon sexe bandé et depuis trop longtemps prisonnier de mon pantalon. Je n’avais qu’une envie depuis 8h30, la prendre et la prendre encore, mais je suis resté concentré sur elle, sur ses attentes, sur son plaisir. C’était maintenant le moment du plaisir partagé, le moment de faire entrer en jeu mon sexe pour une partie à deux. Nos sexes vont enfin faire connaissance. Je pose d’une main mon membre surexcité entre ses grandes lèvres, mon gland écrase son clitoris encore sensible. Je frotte mon frein contre son bourgeon, elle gémit. Enfin, je me recule légèrement et en appuyant sur ma tige, fais glisser mon gland dans l’entrée du vagin. Lucile me tend les mains, je lui tends les miennes qu’elle att**** et serre bien fort. Elle me sourit, ses yeux bleus lagon sont brillant et en tirant doucement sur ces bras je la fait glisser délicatement sur la table jusqu’à plaquer ses fesses contre mon bassin. Lucile a accompagné toute la pénétration par un long gémissement. Une fois immobilisé et bien calé au fond de son puis d’amour, j’ai commencé à manœuvrer en elle avec des allers et retours longs et lents. Chacun de mes déplacements dans son intimité est accompagnés de petits gémissements. Son vagin semble se thermoformer autour de ma queue. Il est le fourreau parfait pour mon membre, ni trop étroit, ni trop large, ni trop profond, ni trop court. L’emboitement est parfait, toute ma queue profite du même plaisir, subit la même pression, c’est le pied absolu. Lucile semble être sur la même longueur d’onde, elle gémit de plus en plus fort, nous sommes en phase. Je dois me retenir pour ne pas jouir, ne pas éjaculer avant qu’elle n’atteigne le septième ciel. Le plaisir est tel que je me surprends à penser à autre chose qu’à cet extraordinaire vagin, à penser au chantier, aux problèmes. Toujours dans un rythme lent, je lui fais profiter de toute la longueur de ma verge, de la taille de mon gland qui ouvre le passage jusqu’au fond de son intimité. C’est pendant de très longues minutes qu’elle supporte ses délicates caresses dans son vagin et sans crier gare, elle explose, hurle et jouit en me suppliant de ne plus bouger, me laissant à deux doigts de l’inonder. Son vagin presse ma verge, ses contractions m’aspirent en elles, me happent, un nouveau torrent de cyprine s’écoule entre nos chairs et ruisselle le long de mes cuisses. Je la laisse savourer, profiter de sa jouissance pleinement. Ses yeux magnifiques sont clos derrière ses lunettes, sa bouche est grande ouverte à la recherche d’un second souffle, ses mains essayent de broyer les miennes dans un dernier spasme, puis les libèrent et tombent à plat sur la table. C’est terminé, son corps, son esprit lui sont rendus. Ses yeux illuminent à nouveau son visage autant que le mien. Elle est très belle, et encore plus belle après l’orgasme. Ses yeux brillent de bonheur, son sourire est communicatif, elle est resplendissante.
Je lui laisse encore plusieurs minutes à penser, revivre, savourer ce moment de plaisir, puis me retire lentement de ce merveilleux fourreau. Je regarde s’écouler la preuve de son dernier orgasme et c’est le membre brillant et gluant que je présente mon gland devant le petit orifice que j’ai deviné pendant les préliminaires comme autorisé et accueillant.
Au contact de mon gland contre son anus, Lucile pose ses deux mains sur ses fesses pour les écarter encore plus que ce qu’elles ne le sont déjà et me dit :

- « Allez, venez par là, je veux vous sentir jouir en moi »
- « Avec plaisir, vos désirs sont des ordres, Lucile »

J’ai pour toute réponse un grand sourire, puis un sourire un peu crispé lorsque je commence à m’introduire dans son étroit conduit. L’orifice, comme ma verge sont parfaitement lubrifiés et ma queue glisse inexorablement dans son rectum sans y être retenue ni même freinée. Une fois sa vulve ventousée sur mon pubis, je la regarde se détendre, son sourire réapparait, ses yeux transpirent le plaisir, elle m’accepte en elle. J’entame une longue et douce danse, mon bassin oscille d’avant en arrière, la queue coulisse allègrement dans son fondement. Ses gémissements nous accompagne dans notre quête du plaisir, et sont accompagnés de « oui, doucement, oui, comme ça, oui, c’est trop bon ». Une de ses mains caresse tendrement son sexe et un doigt joue délicatement avec son petit bourgeon. Son anus se contracte, elle jouit calmement, un orgasme de toute petite amplitude, mais un peu de cyprine vient lubrifier encore le coït en cours. Elle quitte son sexe et s’abandonne à la sodomie que je lui pratique avec délicatesse et tendresse. Cela fait une quinzaine de minute que je ramone amoureusement son anus lorsqu’elle arrête de gémir, sa respiration s’interrompt, ses yeux se ferment, sa bouche s’ouvre mais ne libère aucun son, son corps se crispe, ses sphincters me pressent. J’explose soudainement, mes couilles se vident et remplissent son intestin par plusieurs jets puissants. Mon éjaculation amplifie son orgasme, elle crie, sa respiration reprend à un rythme démentiel, ses yeux s’écarquillent comme s’ils voulaient quitter leur orbite, sa bouche crache des hurlements d’a****l blessé, son corps tremble et son vagin expulse puissamment le trop plein de cyprine et arrose copieusement ma chemise que j’aurai certainement dû hotter plus tôt. Nous avons atteint l’extase, le plaisir absolu.
Il nous faut à elle comme à moi de longues minutes pour retrouver la terre ferme, la réalité. Ce n’est qu’une fois totalement vidé et débandé que je me retire de son cul qui déverse le trop plein de sperme. Lucile me tend les bras, je monte sur la table à ses cotés et l’embrasse tendrement. Cette femme n’est que douceur, tendresse et délicatesse, l’exact opposé de ce qu’elle laisse paraître professionnellement. Elle se blottit contre moi et après un long moment de silence me dit :

- « Je pense avoir trouvé ce que je cherche. J’aimerai vraiment vous revoir, mais dans un autre contexte, ailleurs que dans cette salle de réunion austère »
- « Vous pensez ou vous êtes sûre ? »
- « je pense, enfin je suis presque certaine d’avoir trouvé » dit-elle en souriant
- « Vous souhaitez faire un autre essai peut-être ? » dis-je avec un air coquin
- « plusieurs même... » en riant
- « je ferai autant d’essais que vous voulez » lui répondis-je en l’embrassant.

Elle se lève, att**** quelques serviettes en papier pour s’essuyer et nettoyer le résultat de notre plaisir partagé. Je fais de même et remonte mon caleçon et pantalon. Elle me regarde tout en se rhabillant et rit en regardant ma chemise auréolée par son plaisir et me dit :

- « Vous n’aviez qu’à pas me faire jouir comme ça ! »
- « Au contraire, on remet ça quand vous voulez. » répondis-je
- « Ce soir ? »
- « Ce soir, vraiment, vous êtes libre ? »
- « Disons que je peux me libérer »
- « Alors disons ce soir. Chez moi, vers 20H ? »
- « Ok, envoyez moi l’adresse, j’y serai. »

Une fois tous les deux habillés, elle m’enlace et m’embrasse longuement, amoureusement. Nous quittons la salle de réunion et nous sommes impatients de nous retrouver ce soir.
Published by ahtile
3 years ago
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la suite est là.
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il-y-a une suite?  trop bon
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