Masturbation de notre slave sous surveillance

Une fois par mois, environ, les Maîtres autorisent leur esclave, dont la bite est encagée en permanence, de se masturber en leur présence. Pas un droit, une faveur.

Maître Crush, confortablement installé sur le lit, fait signe à son esclave de s’allonger entre ses jambes écartées. Le boxer sur la tête de l’esclave fait office de cagoule et le prive de la vue et il peut respirer les odeurs laissées par son Maître tout au long de la journée. Pendant que Maître Lock filme la scène, Maître Crush étale les chaînes sur le corps de son esclave et joue avec le « violet wand ». De son autre main, il bâillonne son l’esclave afin qu’il ne respire plus que par le nez.

Au bout de quelques minutes, l’esclave dégorge son poireau devant ses Maîtres, et grâce à ses Maîtres, aux abonnés de leur profil partout sur le globe. Si ce n’est pas ça le bonheur d’être esclave, qu’est-ce alors ?