Suite 1
Dans le groupe de jeunes dont je faisais partie, cela s’est très vite su, et j’ai eu droit pour mon plus grand plaisir, à plusieurs douches de sperme sur le visage et dans ma bouche.
Mais, cela ne me suffisait plus, et j’avais très envie de goûter à une bonne queue, de lécher, de sucer comme le faisait les salopes dans nos bouquins.
J’osais en parler à mon copain le plus proche. Je sentais son regard qui luisait de désir et de vice, Il sortit sa queue et la présenta devant ma bouche. Elle est à toi, vas y.
Je commençais par la lécher sur toute sa longueur, quelle magnifique sensation.
Je caressais ses couilles bien pleines d’une main, puis je pris son gland entre mes lèvres humides et brûlantes. Ma langue jouait tout autour, puis je pris cette belle queue presqu’entièrement dans ma bouche, j’adorais son goût. Mon copain commençait déjà à gémir de plaisir. J’entamais un lent va et vient, ma langue jouait avec son méat.
Je découvrais la fellation et, c’était sur et certain, j’en étais raide dingue,
Quel plaisir de sucer, j’en bandais très fort.
Mes joues se creusaient sous la force de ma succion et mon pote se pâmait de plaisir.
Je sentais son ventre qui se contractait de plus en plus, ses râles de plaisir de plus en plus fort.
Quand il me dit qu’il allait gicler, je tétais sa bite encore plus fort et je sentis la première longue giclée de bonne crème de burnes, suivit de plusieurs plus petites qui me remplissaient la bouche.
Je quittais sa bite qui commençait à mollir pour mieux profiter de son sperme, bien profiter de sa texture, de son goût, avant de l’avaler.
Puis, je repris sa queue pour bien la nettoyer et surtout, ne pas perdre une goutte de ce si précieux nectar.
Mon pote avait adorer, pour lui aussi, c’était la première fois qu’il se faisait sucer.
Je lui dis, bien sûr, que quand il voudrait recommencer, j’étais là !
Pour me remercier, il me branla et je jouis très rapidement dans sa main tellement j’étais excité.
Le week-end suivant fut très occupé car je dus sucer pratiquement tous les garçons de la bande, j’en étais très fier. Certains me traiter déjà de salope et cela me plaisait bien, ils me trouvèrent un surnom : « la pipeuse » !
J’attends vos commentaires pour une suite éventuelle,
Mais, cela ne me suffisait plus, et j’avais très envie de goûter à une bonne queue, de lécher, de sucer comme le faisait les salopes dans nos bouquins.
J’osais en parler à mon copain le plus proche. Je sentais son regard qui luisait de désir et de vice, Il sortit sa queue et la présenta devant ma bouche. Elle est à toi, vas y.
Je commençais par la lécher sur toute sa longueur, quelle magnifique sensation.
Je caressais ses couilles bien pleines d’une main, puis je pris son gland entre mes lèvres humides et brûlantes. Ma langue jouait tout autour, puis je pris cette belle queue presqu’entièrement dans ma bouche, j’adorais son goût. Mon copain commençait déjà à gémir de plaisir. J’entamais un lent va et vient, ma langue jouait avec son méat.
Je découvrais la fellation et, c’était sur et certain, j’en étais raide dingue,
Quel plaisir de sucer, j’en bandais très fort.
Mes joues se creusaient sous la force de ma succion et mon pote se pâmait de plaisir.
Je sentais son ventre qui se contractait de plus en plus, ses râles de plaisir de plus en plus fort.
Quand il me dit qu’il allait gicler, je tétais sa bite encore plus fort et je sentis la première longue giclée de bonne crème de burnes, suivit de plusieurs plus petites qui me remplissaient la bouche.
Je quittais sa bite qui commençait à mollir pour mieux profiter de son sperme, bien profiter de sa texture, de son goût, avant de l’avaler.
Puis, je repris sa queue pour bien la nettoyer et surtout, ne pas perdre une goutte de ce si précieux nectar.
Mon pote avait adorer, pour lui aussi, c’était la première fois qu’il se faisait sucer.
Je lui dis, bien sûr, que quand il voudrait recommencer, j’étais là !
Pour me remercier, il me branla et je jouis très rapidement dans sa main tellement j’étais excité.
Le week-end suivant fut très occupé car je dus sucer pratiquement tous les garçons de la bande, j’en étais très fier. Certains me traiter déjà de salope et cela me plaisait bien, ils me trouvèrent un surnom : « la pipeuse » !
J’attends vos commentaires pour une suite éventuelle,
3 years ago