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Aventure en sous-bois

Aventure en sous-bois

Après ma première expérience, qui m’a permis bien malgré moi de tout découvrir ou presque du sexe entre hommes, très rares ont été les fois où j’ai pu assouvir encore mes penchants bisexuels.


Seules quelques caresses mutuelles ont pimenté un peu ma vie d’homme marié trop pris par son travail et sa famille.


Mais c’est à l’occasion d’un déplacement inhabituel dû à un remplacement de collègue malade que j’ai pu ajouter un nouvel épisode à mes penchants homo.


Ce déplacement, effectué au printemps avec une voiture de la boîte où je travaille, nécessitait d’effectuer plusieurs centaines de kilomètres et il était logique qu’après quelques heures de route je m’arrête pour me reposer un peu et soulager une vessie au bord de l’explosion.


La nationale que j’empruntais traversait alors un bois et une aire de repos aménagée en bordure de celui-ci me sembla un excellent endroit pour faire une pose.


Peu de voitures, deux véhicules seulement, dont l’un des conducteurs semble se reposer, et l’autre téléphone avec son portable. Je me gare donc un peu à l’écart, il y a suffisamment de place pour ne pas être à touche-touche.


Je sors, ferme ma porte et allume une clope car je ne fume pas dans la voiture et je décide de marcher un peu dans l’allée forestière. Après quelques dizaines de mètres, je m’arrête pour satisfaire ma vessie, et sors mon sexe pour uriner. Comme par hasard c’est le moment choisi par l’un des autres conducteurs pour faire quelques pas dans l’allée et malgré ma gène je continue ce que je suis venu faire.


Le mec passe derrière moi tranquillement, non sans mater ma queue me semble-t-il, et esquisse un sourire en continuant son chemin. Je suis un peu troublé par la situation et des souvenirs de mes rares moments entre mecs m’émoustillent un peu.


Je termine mon pipi, range ma queue et je regarde le mec qui s’éloigne en tournant parfois la tête dans ma direction. Puis il s’arrête soudain, regarde une dernière fois vers moi et pénètre dans le bois sur sa gauche. Par curiosité et surtout parce que l’excitation commence à me titiller un peu, je décide de poursuivre mon chemin dans sa direction.


Arrivé à hauteur de l’endroit où il a disparu, je remarque un petit sentier bien marqué dans les fourrés, preuve d’un passage assez régulier. Je passe devant, hésitant, continue mon chemin, puis fais demi-tour de plus en plus nerveux. Que faire ? Je prends le sentier ?


La tentation a toujours été plus forte chez moi que la raison, je prends alors le sentier et m’engage plus profondément sur quelques dizaines de mètres à l’intérieur du bois.


Le mec est là devant moi, adossé à un arbre. Il est en train de se frotter l’entrejambe par-dessus son pantalon de jogging en me regardant fixement. Maintenant que j’y suis, pas question de rebrousser chemin, je me sens prêt à renouveler mes précédentes expériences.


J’avance doucement vers le mec, la quarantaine sportive, élancé, costaud, et je remarque de suite à sa main gauche la présence d’une alliance. Ce détail me rassure.


Je suis maintenant face à lui, il me dit bonjour en souriant, et approche de suite sa main de la bosse qui commence à se former dans mon pantalon. Il me caresse l’entrejambe et moi j’aventure ma main sur le renflement de son jogging. Je sens très nettement un membre déjà bien en éveil que j’ai hâte de mieux voir et de mieux palper. Je m’enhardis donc et glisse ma main dans son jogging, cherchant la lisière du caleçon pour m’y introduire et prendre en main le membre tiède qui palpite.


Ma main maintenant dans le caleçon prend la mesure de ce qu’elle tient, un beau membre de taille respectable et déjà bien ferme, je la glisse plus bas pour soupeser deux belles couilles qui me semblent bien pleines vu leur volume.
Le type descend alors son jogging en accompagnant le caleçon dans le mouvement, son beau morceau de chair rose libéré de toutes contraintes se dresse maintenant fièrement devant lui et surtout devant moi. Le gland est bien marqué, complètement décalotté et violacé, je m’empresse de reprendre en main cette bite à ma disposition et commence quelques va-et-vient d’une main enveloppante. La peau de son sexe est douce et le plaisir que donne ma main est perceptible sur le visage de mon partenaire.


Ses mains s’occupent maintenant de ma boucle de ceinture, font sauter les boutons de mon pantalon qui tombe à mes pieds, me laissant en slip. Ce dernier ne reste pas longtemps en place puisqu’il est descendu dans la foulée par des mains qui décident ensuite de s’occuper de mon attirail. Je bande aussi déjà fermement, et la caresse qu’il me prodigue me fait trembler tant j’éprouve de plaisir et d’excitation dans cette situation particulière.


Nous sommes là tous les deux, pantalons et slips au bas des jambes à s’occuper mutuellement de nos bites, tout à notre plaisir mutuel. Sa verge mouille légèrement, une goutte de liquide translucide perle du méat, et je l’étale de ma main sur le gland qui brille alors.


Une de ses mains quitte mes couilles pour m’appuyer sur l’épaule de manière à me faire comprendre qu’il attend plus de moi qu’une simple petite branlette. Je comprends de suite le message et je me penche alors en avant de manière à prendre en bouche cette friandise. J’approche mes lèvres de sa bite, elle sent bon l’eau de toilette et j’apprécie de m’occuper de cette bite bien propre. Je caresse le gland de ma langue et j’ouvre ensuite la bouche pour avaler son membre raide comme un bout de bois. Une main sur ma nuque, il guide le mouvement de ma bouche en poussant de légers soupirs à chaque mouvement de ma bouche, pendant que son autre main me caresse le dos, me faisant frissonner.


C’est alors qu’une main me caresse les fesses avec douceur et qu’un doigt fureteur s’aventure entre elles. Ce n’est qu’après quelques secondes que je comprends que cette main ne peut appartenir à celui que je suce, sauf à en avoir trois et ça ne passe pas inaperçu !


Tournant légèrement la tête mais sans lâcher le sexe que j’avale de mon mieux, je constate qu’un troisième larron s’est joint à nous et qu’il s’agit vraisemblablement du deuxième conducteur déjà arrêté à mon arrivée. Grand, élancé, les cheveux très courts, il est de type créole et il continue à me caresser le fessier avec insistance. Un de ses doigts plus inquisiteur cherche mon petit trou et je ne peux m’empêcher de lui faire comprendre par un soupir que j’aime ce contact. Le doigt tourne autour de ma rondelle avant de la pénétrer doucement et de s’y frayer un chemin qui me fait soupirer.


La ceinture de notre nouvel acolyte s’ouvre alors, un zip caractéristique de fermeture éclair indique que son pantalon est prêt à tomber, et d’un regard en biais je constate que ce dernier vient de perdre le dernier rempart de son sexe et arbore un membre d’une taille plus qu’honorable, long, épais, le gland bien décalotté, et raide comme un bout de bois.


Je comprends très rapidement ce qui m’attend et ce qu’il compte faire quand il enfile sur sa grosse tige une capote et la mouille de sa salive. Toujours occupé à sucer le premier, je sens alors une tige dure se poser sur mon anus et deux mains me tenir les hanches. Une poussée ferme m’ouvre le trou du cul, je gémis, geins, et le gland entre dans mon petit cul. Ça me brûle un peu, j’ai mal, j’essaie de me détendre, sa bite est vraiment grosse et m’ouvre le cul, me déchire la rondelle.


On me tient la tête pour que je m’applique sur ma pipe et on me tient les hanches pour m’enfiler jusqu’à la garde. La bite est maintenant complètement en moi et je la sens m’occuper pleinement les boyaux, c’est bon, je soupire, gémis, j’aime ça, et le va-et-vient commence d’abord faiblement puis avec amplitude, me procurant à chaque mouvement une légère douleur que j’aime et des frissons de plaisirs que je ne peux contrôler.


La bite dans ma bouche grossit encore et je sens à ses mouvements que le moment de l’explosion est proche et je me prépare à la ressortir de ma bouche pour éviter d’en recevoir la jouissance mais les mains fermement appuyées sur ma tête m’en empêchent et c’est dans les râles successifs de son propriétaire que cette bite m’inonde la bouche en saccades tièdes successives. Je suis un peu écœuré mais je ne peux recracher le morceau qui m’occupe la bouche et je finis par avaler cette semence qui coule dans ma gorge.


La queue bien logée entre mes fesses me ramone de plus belle, ma main s’active sur ma bite, j’ai le cul bien occupé et bien défoncé, je suis traité de salope, de pute et je sens soudain dans mon ventre les contractions saccadées d’une bite qui se libère dans la capote au fond de mes entrailles. Il ne m’en faut pas plus pour décharger à mon tour en gémissant de plus belle, répandant mon foutre sur les feuilles mortes.


Après quelques nettoyages et le temps de reprendre nos esprits, chacun rejoint son véhicule à son tour. Je reprends la route, satisfait, comblé mais vidé, le trou du cul encore douloureux, avec un goût très particulier persistant dans la bouche.
Published by balsamo70
3 years ago
Comments
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Pgoue25
Je vis cela régulièrement depuis mes débuts d'homme passif. hélas seulement deux fois avec la sodomie. Par contre, j'ai avalé nombre de jets de foutre dont je suis devenu addict. Quelques fois jusqu'à 4 membres à sucer en même temps.
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tissou71
j'aurais aimé faire pareil dans les bois  hummm que du plaisir  merci
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sethorus
super sympa
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Bel épisode bien écrit... Félicitations
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la bouche bien remplie et les fesses pénétrées, deux plaisirs en une fois
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to jacbisex59 : C'est toujours une de mes occupations préférées....
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jacbisex59
cela me rappelle quelques expériences en forêt : délicieux de sucer en pleine air et d'avaler le sperme
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excellent reading
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Quel récit excitant. J'espère pouvoir être comblé de joie la sorte un de ces jours
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victrola91
Hummm j’adorerais 
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Viciolitaire-2018
Chanceux
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