Les clefs de la cage de chasteté
Il y a quelques jours, Déesse m’a demandé de lui fabriquer une petite boite transparente qu’elle puisse fermer avec un cadenas. Je la lui ai donnée ce jeudi.
Aussitôt, elle m’a ordonné de mettre une cage de chasteté. Comme d’habitude, c’est elle qui a fermé le cadenas en me regardant dans les yeux. Le clic du verrouillage me fait toujours le même effet, un mélange de plaisir et d’angoisse. Je sais qu’à partir de ce moment, c’est elle qui décide quand elle me libérera. C’est parfois le soir même, ou clef au bout d’une semaine voire plus.
« Maintenant, regarde et écoute bien ! »
Elle m’a agité sous le nez la clef du cadenas de ma cage de chasteté et son double puis les a déposées dans la petite boite transparente.
Elle a ensuite sorti de sa poche un autre cadenas bien plus gros et condamné la boite avec.
« C’est un cadenas temporisé, il ne pourra être ouvert avant que le compte à rebours soit terminé »
Sur le coup, je n’ai pas trop compris….
« Compte à voix haute, chaque bip, c’est une heure que tu passeras obligatoirement en cage »
Un… Deux…Trois…
Au fur et à mesure que je compte, je comprends enfin. Ce n’est plus ma Déesse la gardienne des clefs, c’est un engin électronique incorruptible. Déesse ne pourra pas m’enlever la cage même si elle le veut !
Cette pensée m’excite au plus haut point, Déesse regarde ma queue se boursoufler davantage dans ma cage à chaque bip. Elle ralenti la cadence des bips pour mieux profiter de l’instant.
Soixante…. Samedi soir, je serai en cage…
Elle est allée au maximum, 99 heures…. Pour les dernières heures, elle attendait cinq secondes entre chaque appui sur la touche. Elle se délectait de voir ma queue étranglée dans la cage. J’ai failli gicler tellement j’étais excité.
« Attends, je peux rajouter des minutes » : Il y a eu 59 nouveaux bips. Je suis enfermé pour 99 heures et 59 minutes.
Elle a posé la boite sur ma table de nuit. « Tu vois, elle est transparente, tu peux voir les clefs, et sur le cadenas voir dans combien de temps je pourrai éventuellement m’en servir. »
Samedi soir, elle s’est mise au lit avec son ordinateur et son Hitachi et s’est masturbée devant moi.
Souvent quand elle a joui une fois ou deux, elle ouvre ma cage, mais là, aucun espoir. J’ai eu même l’impression qu’elle jouissait aussi de ma frustration, surtout quand elle m’a dit : « Je veux la machine à baiser ! »
C’est dimanche matin, il reste une dizaine d’heures… Je ne sais pas si elle va me libérer, ou remettre une autre temporisation…
Aussitôt, elle m’a ordonné de mettre une cage de chasteté. Comme d’habitude, c’est elle qui a fermé le cadenas en me regardant dans les yeux. Le clic du verrouillage me fait toujours le même effet, un mélange de plaisir et d’angoisse. Je sais qu’à partir de ce moment, c’est elle qui décide quand elle me libérera. C’est parfois le soir même, ou clef au bout d’une semaine voire plus.
« Maintenant, regarde et écoute bien ! »
Elle m’a agité sous le nez la clef du cadenas de ma cage de chasteté et son double puis les a déposées dans la petite boite transparente.
Elle a ensuite sorti de sa poche un autre cadenas bien plus gros et condamné la boite avec.
« C’est un cadenas temporisé, il ne pourra être ouvert avant que le compte à rebours soit terminé »
Sur le coup, je n’ai pas trop compris….
« Compte à voix haute, chaque bip, c’est une heure que tu passeras obligatoirement en cage »
Un… Deux…Trois…
Au fur et à mesure que je compte, je comprends enfin. Ce n’est plus ma Déesse la gardienne des clefs, c’est un engin électronique incorruptible. Déesse ne pourra pas m’enlever la cage même si elle le veut !
Cette pensée m’excite au plus haut point, Déesse regarde ma queue se boursoufler davantage dans ma cage à chaque bip. Elle ralenti la cadence des bips pour mieux profiter de l’instant.
Soixante…. Samedi soir, je serai en cage…
Elle est allée au maximum, 99 heures…. Pour les dernières heures, elle attendait cinq secondes entre chaque appui sur la touche. Elle se délectait de voir ma queue étranglée dans la cage. J’ai failli gicler tellement j’étais excité.
« Attends, je peux rajouter des minutes » : Il y a eu 59 nouveaux bips. Je suis enfermé pour 99 heures et 59 minutes.
Elle a posé la boite sur ma table de nuit. « Tu vois, elle est transparente, tu peux voir les clefs, et sur le cadenas voir dans combien de temps je pourrai éventuellement m’en servir. »
Samedi soir, elle s’est mise au lit avec son ordinateur et son Hitachi et s’est masturbée devant moi.
Souvent quand elle a joui une fois ou deux, elle ouvre ma cage, mais là, aucun espoir. J’ai eu même l’impression qu’elle jouissait aussi de ma frustration, surtout quand elle m’a dit : « Je veux la machine à baiser ! »
C’est dimanche matin, il reste une dizaine d’heures… Je ne sais pas si elle va me libérer, ou remettre une autre temporisation…
4 years ago