Episode 2
Après avoir retiré ma culotte ,dernier rempart de ma pudeur, je montais sur la balance entièrement nue .
Je suis incapable de décrire ce que je ressentais à ce moment-là, mais il y avait un mélange de honte , de naïveté de m'être mise moi même dans cette situation, l'humiliation d'être ainsi exposée au regard sans concession de mon beau-père, l'angoisse d'être jugée sur un physique dont je n'étais pas fière, et la peur de ce qui pouvait se passer ensuite puisqu'il m'avait bien prouvé que frapper une femme ne le gênait pas.
Après avoir constaté mon surpoids et fait des remarques désobligeantes sur tous les endroits de mon anatomie où l'on voyait des bourrelets il se mit a prendre des photos de mon corps avec son téléphone sans me demander mon autorisation . J'étais prise au piège et je ne savais pas comment m'en sortir.
Finalement à ma grande surprise il ne m'en demanda pas plus ,me laissant me rhabiller et aller chercher mes endants à l'école. Je me doutais bien qu'il n'irait pas jusqu'à laisser la dernière rentrer seule de l'école mais j'avais craqué la première.
Cet épisode m'avait laissé un goût amer. Ma fierté en avait prit un sacré coup ... et ma joue aussi. Ce n'est pas qu'il avait frappé violemment mais cette gifle avait été le symbole parfait de ma faiblesse et de ma renonciation. En ne répondant pas à ce geste ni physiquement ni verbalement, et en acceptant de lui offrir ma nudité sans condition, je m'étais mise dans la position de celle qui accepte de reconnaître la supériorité de celui qui vous dicte sa loi. Sans le savoir j'avais connu mon premier acte de soumission face à mon beau-père.
L'idée d'en parler à mon mari ne m'avait même pas effleuré l'esprit. Pas seulement à cause de la honte que j'aurai eu de raconter cet épisode peu glorieux pour mon statut de femme indépendante et fière, mais parce qu'au fond de moi , je sentais que mon corps n'avait pas réagi comme s'il avait été agressé mais comme s'il avait été réveillé de sa torpeur. La nuit qui a suivi ce premier épisode je m'étais réveillée en sueur avec l'envie irrépressible d'aller me masturber. Et à ma grande surprise l'orgasme que j'avais eu , était le plus intense que j'avais ressenti depuis des années.
Je suis incapable de décrire ce que je ressentais à ce moment-là, mais il y avait un mélange de honte , de naïveté de m'être mise moi même dans cette situation, l'humiliation d'être ainsi exposée au regard sans concession de mon beau-père, l'angoisse d'être jugée sur un physique dont je n'étais pas fière, et la peur de ce qui pouvait se passer ensuite puisqu'il m'avait bien prouvé que frapper une femme ne le gênait pas.
Après avoir constaté mon surpoids et fait des remarques désobligeantes sur tous les endroits de mon anatomie où l'on voyait des bourrelets il se mit a prendre des photos de mon corps avec son téléphone sans me demander mon autorisation . J'étais prise au piège et je ne savais pas comment m'en sortir.
Finalement à ma grande surprise il ne m'en demanda pas plus ,me laissant me rhabiller et aller chercher mes endants à l'école. Je me doutais bien qu'il n'irait pas jusqu'à laisser la dernière rentrer seule de l'école mais j'avais craqué la première.
Cet épisode m'avait laissé un goût amer. Ma fierté en avait prit un sacré coup ... et ma joue aussi. Ce n'est pas qu'il avait frappé violemment mais cette gifle avait été le symbole parfait de ma faiblesse et de ma renonciation. En ne répondant pas à ce geste ni physiquement ni verbalement, et en acceptant de lui offrir ma nudité sans condition, je m'étais mise dans la position de celle qui accepte de reconnaître la supériorité de celui qui vous dicte sa loi. Sans le savoir j'avais connu mon premier acte de soumission face à mon beau-père.
L'idée d'en parler à mon mari ne m'avait même pas effleuré l'esprit. Pas seulement à cause de la honte que j'aurai eu de raconter cet épisode peu glorieux pour mon statut de femme indépendante et fière, mais parce qu'au fond de moi , je sentais que mon corps n'avait pas réagi comme s'il avait été agressé mais comme s'il avait été réveillé de sa torpeur. La nuit qui a suivi ce premier épisode je m'étais réveillée en sueur avec l'envie irrépressible d'aller me masturber. Et à ma grande surprise l'orgasme que j'avais eu , était le plus intense que j'avais ressenti depuis des années.
3 years ago
